: Présentation
Dans ce pays de montagnes, de vallées et de fermes, il y a des esprits, des trolls et des morts qui parlent. Il y a de l’eau
qui coule vers le bas.
Il y a des hommes et des femmes qui aiment et qui tuent...
Des paysans et des valets de ferme.
Des pierres qui font du bruit en marchant.
Des enfants naissent.
Une histoire se raconte, comme dans un conte : Un cheval arrive de La gardeuse d’oies, de Grimm, et ce cheval a l’air d’être magique.
Pauvreté, richesse, homme et bête (1933) est non seulement une oeuvre dramatique mais aussi un poème, un conte. C’est un récit
au long cours. À la fois réaliste et magique, c’est une réflexion violente et crue sur l’amour, loin des critères moraux d’une époque. On y voit à travers les êtres comme dans du verre. On y parle une langue rude, brutale même, intransigeante, voire lapidaire. Les acteurs du drame butent, sur des désirs inassouvis, des peurs,des superstitions, la volonté de posséder.
Certains veulent, une fois, connaître la jouissance, d’autres le bonheur.
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