: Propos du metteur en scène
Du collège (anglais) à la guerre (impérialiste), un enfant grandit. C’est un garçon récalcitrant et mutique qui au collège commet dégradation sur dégradation, jusqu’au crime. Plus tard, au service militaire, il s’avère incapable de simuler un crime. Puis, enrôlé dans une guerre lointaine, face à des étrangers absolus, il fait son travail du prolétaire du mal, proprement. Pris dans une situation extrême, il tue à nouveau. Mais l’ennemi, avant de mourir, lui dit quelque chose d’intense, dans sa langue incompréhensible. C’est alors que le garçon veut comprendre,enfin , l’autre, sa langue. Mais il n’a rien appris… Apprendra-t-il ?
C’est une courte pièce d’Edward bond, une histoire rapide, vivante et concrète, dont le dénouement reste en l’air, comme une question. Elle est faite pour provoquer le débat, l’échange. Quatre acteurs, appareil scénique minimal : une pièce à jouer où l’on veut, quand on veut, histoire de parler un peu (ensemble) du monde comme il va...
Jean-Pierre Vincent
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