vendredi 25 novembre 2016
la parole dérivée
Par Karminhaka
Une toile posée dans un recoin de la scène, de manière presque anodine, mais que le spectateur, bien avant le début de la pièce, a le loisir de contempler. C'est le fameux tableau « Le radeau de la méduse », de Théodore Gericault qui, comme toute grande œuvre qui se respecte, peut traverser les siècles pour se poser, dans une puissance métaphorique insoupçonnée, dans les strates contemporaines les plus brûlantes....