Avec Sandrine Lamblin, nous avons cherché du côté d’un espace scénique en miroir, sol, plan vertical pour raconter le rapport duel entre l’homme et son histoire, entre le Musicien et le Comédien. Matériaux réfléchissants pour traduire l’enfermement, l’obsession face à la douleur. Images fragmentées.

L’espace du Musicien comme un îlot perdu dans un no man’s land. Du côté du Comédien, une chaise sculptée, métamorphique comme extraite de l’espace du Musicien. Nous jouons sur ce rapport où dedans et dehors se confondent à l’image de certaines peintures de Edward Hopper.

Alain Batis