Par Clémence Robuchon
mardi 03 juin 2014
Evelyne, qui n’avait jamais supporté la solitude, mangeait debout devant sa glace, « pour voir quelqu’un, pour ne pas se sentir seule », et réalisait qu’« on n’a soudainement plus personne à regarder et qu’on n’est plus regardée par personne ». Annie découvrait que « n’importe qui pouvait atterrir en prison, mais surtout les personnes défavorisées, comme si les rôles étaient déjà distribués » et que les transgressions des femmes racontaient surtout «d’effrayantes fragilités et dangerosités pour elles-mêmes ».
Tragédie musicale, Misterioso 119 est...
Par Clémence Robuchon
mardi 03 juin 2014
Par Fabrice Chêne
dimanche 18 mai 2014