mercredi 25 juin 2014
Laurent Sauvage et Olivier Martinaud sont parfaits
Par Sylviane Bernard-Gresh
C'est une excellente idée de mettre en scène les discours prononcés par Thomas Bernhard à la réception de ses prix littéraires : d'abord celui de la ville de Brême pour Gel, son premier roman ; ensuite le prix d'Etat autrichien pour l'ensemble de son œuvre. Il y fustige la vanité de telles cérémonies ; son humour devient violemment caustique quand il raconte que celui qui le présente se trompe de personne.