mercredi 24 mai 2017
« Je voulais traverser ce mur, et je comptais sur mes cheveux pour y arriver. »
Par Elisabeth Pouilly
Cette phrase pourrait être le prélude d’une histoire dans la veine fantastique, et pourtant il n’en est rien ici, puisque Paloma, le personnage principal de l’histoire (mais qui n’en est pas l’héroïne), n’a aucun pourvoir surnaturel et ne peut compter que sur elle pour pouvoir un jour sortir de sa favela. Pourtant c’est bien une histoire de cheveux, cette chevelure qui est l’atout majeur de Paloma, lorsqu’elle défilait déjà pour les concours de mini-miss. Or après les premiers flashs des photographes, on découvre au début de cette pièce une Paloma adulte, sur le point de couper ses cheveux… Qu’est-il arrivé ? Pourquoi cette hérésie ?