: La mise en scène
par Anne Rousseau
La musicalité, le sonore, le rythme : les deux comédiennes s’emparent du texte comme d’une partition. Leurs corps deviennent instruments de musique et donnent les mots comme un chant, une plainte, un murmure, un cri, un rire...
La gestuelle : précise et chorégraphiée, elle met en relief le texte et rythme l’ensemble du spectacle. Détails et micromouvements décalent l’action quotidienne. Mise en tension du corps, structuration de l’espace, gestes et déplacements créent des images surprenantes.
La scénographie : elle joue avec les contrastes – le haut et le bas, le grand et le petit, le rouge et le noir, le plan large et le détail. L’aire de jeu est délimitée par un tapis carré rouge, cerné par la lumière.
La forme : épurée « deux chaises, deux pupitres », elle rend le spectacle adaptable à des espaces variés (théâtres, médiathèques, salles municipales, musées, châteaux... et même en appartements).
L’ensemble compose un tableau vivant et désopilant.
« Ainsi toujours que cela continue »
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