: Le texte et les personnages
3 femmes aisées se questionnent et se positionnent face à la misère
du monde que les entoure.
- Comment améliorer les ’’revenus’’ ou la qualité de vie des
pauvres ?
- S’ILS étaient plus drôles est ce que ce serait pas mieux pour eux ?
- Peut -on donner à tout le monde ?
- Les pauvres sont ils VRAIMENT des pauvres ?
On peut imaginer Les pauvres sont tous les mêmes ou des chevreuils à vive allure comme une conversation ’’volée’’ dans un jardin, dans salon à l’heure du thé, dans la cuisine dernier cri d’une des 3 protagonistes ou encore dans une pièce noire.
Le pièce démarre de façon assez sobre : 3 femmes, certainement
bourgeoises, avec un sac à main dans une main et une coupe de
champagne rosé dans l’autre, constatent le nombre important de
pauvres qui occupent les rues.
Au fur et à mesure que leurs échanges avancent, elles s’enfoncent
dans une sorte de parano face au monde et à son système social et
politique.
Prises à leur propre jeu, et suite aux conclusions de ces échanges,
elles terminent sur un paroxysme de renferment sur soi. Toute
tentative d’observation de ce qui se passe autour de leur monde les
renvoie, avec une tristesse toute empreinte de réalisme
pragmatique, à une vision : peut-être que toute cette misère n’est
qu’une mise en scène et que l’on essaie de profiter de leurs
richesses.
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