Il y a ce texte, best seller de la fin du XVIIe siècle. Cinq lettres écrites par une religieuse à son amant disparu. Cinq lettres comme cinq actes d’une tragédie ou le désir s’empêche dans la jouissance du malheur. Exister c’est désirer, et par conséquent s’activer — s’activer à la poursuite de son objet de désir.
C’est de ce mouvement que la compagnie Ultima Necat fait spectacle : le mouvement d’une voix de femme qui prend source au fond d’un cloître et qui active son désir pour, enfin, exister, paraître au monde.
Elle se saisit du texte de Guilleragues pour investir...

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