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Accueil de « Le Sacre du Printemps »

Le Sacre du Printemps

Teodor Currentzis ( Direction musicale ) , Igor Stravinsky ( Musique ) , Roméo Castellucci ( Mise en scène )

On en parle dans la presse et sur le web

Image de la critique de Au poulailler

lundi 15 décembre 2014

Réflexion sur une technologie dévastatrice

Par David Larre

Plus austère, et inscrit dans les préoccupations anciennes de la Socìetas Rafaello Sanzio[1], Le Sacre du printemps est un impressionnant dispositif plastique, proche de l’installation, qu’une présence humaine discrète vient libérer de la complète abstraction...

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Image de la critique de Attractions visuelles

lundi 15 décembre 2014

Les cendres des morts

Par Karminhaka

Avec "Le sacre du printemps", Romeo Castellucci poursuit sa marche vers l'irreprésentable. Entreprise radicale qui consiste à s'atteler à une oeuvre musicale aussi célèbre, ayant fait l'objet d'autant d'adaptations (dernièrement par le collectif féminin She She Pop, avec une option loufoque). Aussi marquante sur le plan strictement musical que codifiée sur le plan narratif, le thème du sacrifice la traversant de part en part....

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Image de la critique de Médiapart

dimanche 14 décembre 2014

«Putain, c'est stylé!»

Par Jean-Marc Adolphe

Ballet mécanique pour cendres d’os, tel est le Sacre du printemps revu par Romeo Castellucci. Nerf et conscience : cette performance d’apocalypse nécessite pas moins de 6 tonnes de farine animale, soit l’équivalent de 75 bovins. Qu’en dit notre humaine nature ?...

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Image de la critique de Le Souffleur

vendredi 12 décembre 2014

Désacralisation du printemps

Par Estelle Moulard-Delhaye

Nombreux sont les artistes, les chorégraphes en première ligne, à monter le Sacre du Printemps comme un alpiniste s’emploierait à gravir le mont Everest. Œuvre majeure et fascinante, les interprétations successives appellent indubitablement à la comparaison. Mais voilà que la proposition du metteur en scène italien Romeo Castellucci, tant elle est singulière, s’écarte tout à fait de cet écueil. Véritablement contemporaine, cette création investit...

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Image de la critique de lesechos.fr

jeudi 11 décembre 2014

Les particules élémentaires de Castellucci

Par Philippe Chevilley

Le monde d’avant ou le monde d’après, la Genèse ou l’Apocalypse _ c’est selon ... L’homme ne danse plus, c’est la poussière qui danse. Poussières d’os, cendres d’animaux, qui tournoient, tourbillonnent, font des figures, au rythme frénétique du « Sacre du Printemps » de Stravinsky. Romeo Castellucci a conçu cette machine folle, qui chorégraphie le néant : une boite noire, puis blanche, fermée d’une paroi en plastique transparent côté public, dans...

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Image de la critique de liberation.fr

mercredi 10 décembre 2014

Romeo Castellucci, un « Sacre » à l'os

Par Eric Loret

Toujours obsédé par la disparition, le metteur en scène offre au festival d'Automne un Stravinsky poudroyant et lancinant. Castellucci convoque les hallucinations. Petites lumières rouges de robots suspendus aux cintres, tout d’abord. Pluies de chevelures, ensuite, jets de cendre, terre (gestes mortuaires) ou éjaculations de poussière. Ambiances ocre, vert, rose, gris. Le Sacre du Printemps de Stravinsky joue sur bande, son digital,

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Image de la critique de Le Monde.fr

mercredi 10 décembre 2014

Romeo Castellucci fait danser la poussière

Par Fabienne Darge

On le sait, Le Sacre du printemps fit scandale, lors de sa création au Théâtre des Champs-Elysées, le 29 mai 1913. Mais ce « massacre du printemps », selon le « bon » mot de ses détracteurs, fut aussi une date dans l’histoire des arts de la scène. Un siècle, un an et quelques mois plus tard, Le Sacre du printemps de Romeo Castellucci pourrait bien faire date, lui aussi....

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Image de la critique de Mediapart blog

mercredi 10 décembre 2014

C’est un spectacle dont il ne faudrait rien dévoiler,

Par Veronique Klein

C’est un spectacle dont il ne faudrait rien dévoiler, qu’il faut aller voir, absolument, vierge de toute image. La pièce écrite par Stravinsky dure 34 minutes. «Une pièce pour les nerfs, pas pour la conscience. Cela va tellement vite qu’au niveau épidermique tu peux ressentir toute l’énergie, c’est presque une électrocution » dit le metteur en scène Roméo Castellucci. Et en matière de chocs et d énergie l'artiste s'y connaît....

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Image de la critique de La Croix

mercredi 10 décembre 2014

Un « Sacre » en poussières d’os à la Villette

Par Didier Méreuze

Sur l’emplacement des anciens abattoirs de Paris, l’Italien Romeo Castellucci propose une vision d’une puissance inouïe du « Sacre du Printemps » de Stravinsky....

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Image de la critique de paris-art.com

mercredi 10 décembre 2014

une proposition chorégraphique audacieuse

Par Florian Gaité

Nouvelle interprétation du Sacre du printemps dans la danse contemporaine, la pièce de Romeo Castellucci rompt avec son paganisme folklorique, mais en conserve toute la majesté, la violence et la transgression. Congédiant la chair pour ne faire danser que des coulées de sable, tentant un retour au corps moléculaire, le metteur en scène signe une proposition chorégraphique audacieuse, incontestablement réussie....

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