Une ode à la vie en 3 actes, pour 4 silhouettes et 100 cartons, sur les enjeux du nucléaire civil

L’occasion de découvrir un texte méconnu de René Barjavel, La lettre ouverte aux vivants qui veulent le rester, écrite en 1978.
Cet essai n'est plus édité, la création lui redonne l'occasion d'exister. Il est confronté à la parole des « oubliés de Tchernobyl », recueillie par Svetlana Alexievitch dans La supplication, chronique du monde après l'apocalypse, publiée en 1992.

Une thématique actuelle et politique, celle du nucléaire civil et de ses conséquences économiques, écologiques et humaines.
Une aventure humaine et touchante, qui, au delà de la catastrophe, fait l’éloge de la vie.

Indiscutablement, Il Se Passait Quelque Chose : MêMe Les Lilas Ne Sentaient Pas ! Les Lilas ! J’Ai Eu Alors Le Sentiment Que Tout Ce Qui M’Entourait éTait Faux. Que Je Me Trouvais Au Milieu D’Un DéCor…^[1]

Imaginons Une Vache, Qui Chaque Fois Qu’On Lui Donne Une Botte De Foin (Plutonium) Pour Que Son Organisme Le Transforme En Lait (éLectricité), éVacue, MêLéE à Ses ExcréMents, Une Botte Et Demie De Foin Frais ! C’Est La Vache Miracle ! Il Suffit D’Extraire Le Foin De La Bouse Et De Le Redonner à La Vache.^[2]