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Moi, Caravage

+ d'infos sur l'adaptation de Cesare Capitani ,
mise en scène Stanislas Grassian

: Présentation

Le 18 juillet 1610, sur une plage déserte non loin de Rome, Michelangelo Merisi dit Caravage meurt dans des circonstances obscures. Assassiné ? Probablement. Pourquoi ? Par qui ? On ne sait.
Dans la vie et dans la mort du maître du clair-obscur tout est mystérieux. Il meurt à seulement 39 ans mais laisse une œuvre imprégnée d’un réalisme brutal et d’un érotisme troublant qui bouleversera à jamais la peinture.


Séduit par cette personnalité puissante et ténébreuse, Cesare Capitani, comédien et metteur en scène formé à l'Ecole du Piccolo Teatro de Milan, est l’auteur et l’interprète d’une confession palpitante inspirée de l’ouvrage de Dominique Fernandez La Course à l’abîme (Grasset).


En écrivant ce roman qui tente de ressusciter par l’écriture la figure du peintre Caravage, je ne pensais pas voir jamais ressurgir celui-ci, sous mes yeux, en chair et en os, cheveux noirs et mine torturée, tel que je me l’étais imaginé, brûlé de désirs, violent, insoumis, possédé par l’ivresse du sacrifice et de la mort. Eh bien, c’est fait : Cesare Capitani réussit le tour de force d’incarner sur scène cet homme dévoré de passions. Il est Caravage, Moi, Caravage, c’est lui. Il prend à bras le corps le destin du peintre pour le conduire, dans la fièvre et l’impatience, jusqu’au désastre final.


Dominique Fernandez 




Représentations en Italien


les mardis 15 octobre, 19 novembre et 17 décembre 2013

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