Les Trois Coups
mercredi 03 février 2016
De la cécité nécessaire
Par Trina Mounier
Avec « le Canard sauvage », le tout nouveau directeur de l’Odéon, Stéphane Braunschweig, grand explorateur des pièces d’Ibsen, offre un écrin épuré et brillant à une poignée d’acteurs de haut vol...
thomas-le-theatrophile
dimanche 02 février 2014
Un Canard sauvage à la sauce amère
Par Thomas
En connaisseur d'Ibsen, Stéphane Braunschweig monte à la Colline, dont il est le directeur, un grand cru du dramaturge norvégien. Le Canard Sauvage se savoure lentement et distille le poison de ses odeurs marécageuses......
Rue du théâtre
lundi 27 janvier 2014
Canard façon Tartuffe
Par Camille Saintagne
Pas de séduction mais du plaisir, pas de saveurs charmeuses flattant le palais mais de la nourriture consistante pour les esprits dans la cuisine de Stéphane Braunschweig. Ce "Canard"...
Théâtrorama
jeudi 23 janvier 2014
Petits arrangements avec la vie...
Par Dany Toubiana
Pour Stéphane Braunschweig, Ibsen est une vieille connaissance. Après avoir mis en scène "Rosmersholm" et "Maison de poupée", il y revient avec "Le canard sauvage" qui est selon lui "une pièce à double fond" racontant des existences construites sur des sols instables. Cette idée est souvent métaphoriquement rappelée dans l'oeuvre de l'auteur norvégien par l'évocation de marécages, de fonds de fjords ou comme ici une forêt surexploitée. Écrite en...
L'Express.fr
mercredi 22 janvier 2014
Un Canard sauvage et magnifique
Par Laurence Liban
Saisi par le démon de la transparence, Gregers Werle, fils de famille shooté à l’idéal, dévoile à son ami Hjalmar les mensonges sur lesquels repose le bonheur de son foyer. Et le détruit en toute bonne conscience....
La Terrasse.fr
mardi 21 janvier 2014
Une très grande mise en scène
Par Agnès Santi
Après Peer Gynt, Les Revenants, Brand, Une Maison de poupée et Rosmersholm, Stéphane Braunschweig revient à Ibsen. Il nous offre une très grande mise en scène du Canard sauvage, intense, pimentée d’ironie, nuancée et profonde....
Théâtre du blog
lundi 20 janvier 2014
Voici une pièce vraiment tirée par les cheveux
Par Christine Friedel
Le Canard sauvage, d'Henrik Ibsen, mise en scène de Stéphane Braunschweig Voici une pièce vraiment tirée par les cheveux, ou par les plumes. Dans un monde parfaitement réaliste, tant en ce qui concerne la psychologie des personnages que les rapports sociaux –on ne parlera pas ici de naturalisme-, Ibsen introduit une métaphore onirique, à plusieurs niveaux. La famille Ekdal est installée sous les toits, avec son atelier de photographie et de r...
Télérama
lundi 20 janvier 2014
Quand le mensonge triomphe de la vérité...
Par Fabienne Pascaud
Les mises en scène de Stéphane Braunschweig sont nettes, sculpturales. D'une netteté, d'une rigueur qui laissent surgir tous les troubles. Il en règle lui-même les scénographies aux couleurs glacées, orchestre des espaces anguleux, des plateaux en pente, des architectures austères qui parfois se métamorphosent subrepticement au rythme des actes et de l'action dramatique — comme dans cet éblouissant Canard sauvage, où il semble rétrécir,...
PublikArt
samedi 18 janvier 2014
Une tragédie claire/obscure aux ressentiments expiatoires
Par Amaury Jacquet
Le bonheur peut-il reposer sur le mensonge et son déni ? C’est la question que pose Ibsen dans ce drame troublant qui confronte deux familles à leur passé et à leurs secrets. Le Canard sauvage écrit en 1884 est une pièce intense, étrange reposant sur une série de dédoublements qui en cristallise la dimension fantastique/onirique, bien au-delà d’une portée purement naturaliste.
Marsupilamima
vendredi 17 janvier 2014
C'est si fragile, la vie,
Par Martine Silber
Stéphane Brauschweig réussit à parsemer de sourires ce Canard Sauvage si noir, si accablant, ce qui n'a l'air de rien et est pourtant tout à fait remarquable. Il fallait pour cela une mise en scène discrète, sans effets, sans violence et des comédiens parfaitement inscrits dans leurs rôles pour conduire cette histoire sans merci vers sa fin tragique et sans rédemption....
