: Présentation
Tuer.
Mourir.
Ce qu’un coup de couteau fait d’une créature.
Le matin du jour où l’on va tuer.
Le matin du jour où l’on va mourir.
Se laver, s’habiller, manger.
La fin des rêves, des espoirs, des souffrances, d’un seul coup de couteau.
La fin du monde, d’un seul coup de couteau.
Désirer un corps, asservir un corps, anéantir un corps.
Pourquoi ?
Les loups mêmes ne se mangent pas entre eux.
Les loups mêmes ne se mangent pas entre eux, libre adaptation théâtrale de La bête humaine d’Émile Zola, explore le pendant étrange, sensoriel et sensuel de cette histoire de désir et de mort.
Bouleversant une narration «évidente», la pièce se concentre sur les profondeurs mythiques de l’œuvre, en proposant une réflexion sur la violence et le rapport à l’Autre par le biais du théâtre, de la danse et de la marionnette.
Ces fonctionnalités sont réservées aux abonnés
Déjà abonné,
Je me connecte
–
Voir un exemple
–
Je m'abonne
Ces documents sont à votre disposition pour un usage privé.
Si vous souhaitez utiliser des contenus, vous devez prendre contact avec la structure ou l'auteur qui a mis à disposition le document pour en vérifier les conditions d'utilisation.