: L’importance actuelle de parler d’homosexualité
Non, les homosexuels ne jouissent pas des mêmes droits que les hétérosexuels, ils sont encore souvent pointés du doigt, suscitent des sourires ironiques, du mépris parfois. Ils sont encore taxés d’ignorer les mœurs sexuelles respectables ou conventionnelles, alors qu’il s’agit en réalité d’une autre manière de vivre sa sexualité, d’un autre désir, d’une autre attirance physique.
Il est curieux de constater que les métropoles attirent les homosexuels, sans doute pour des raisons de commodité personnelle, à cause des possibilités qu’elles offrent de disparaître dans la foule, de passer inaperçu et de faire des rencontres à l’abri des commérages.
Il reste à l’égard des homosexuels une attitude répressive que l’on peut qualifier de xénophobe venant d’une grande partie de la société.
Si l’homosexualité est aujourd’hui tolérée, elle n’est pas acceptée, même si dans certains pays, peu nombreux (la Belgique en est un exemple), le mariage gay est légal.
Le mariage pour tous. Tous les hommes sont égaux en droits, et vouloir faire des homosexuels une sous-classification, une espèce de sous-société, c’est leur enlever une partie de leurs droits.
Certains classent encore l’homosexualité comme une perversité, une déviance : sexualité contre nature.
Pas question de couples gay enlacés dans les espaces publics.
Il est à noter que c’est seulement en 1990 que l’Organisation Mondiale de la Santé retire l’homosexualité de la liste des maladies mentales.
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