: Présentation
Il ne s’agit pas ici de transposer le scénario pour des danseurs. Le film est présent comme un souvenir qui s’efface, de même que la réalité atomique, dans le film, revient comme un fantôme qui ne cesse de hanter le présent. Comme une mise en abyme du souvenir, Ils n’ont rien vu poursuit le travail du chorégraphe sur la mémoire, telle qu’elle transforme parfois pour préserver, en nous rappelant que les traumatismes de l’histoire semblent appelés à se répéter indéfiniment. Pour l’aider à créer ce lien mémoriel, le chorégraphe fait appel à la plasticienne japonaise Rieko Koga. L’environnement scénique mouvant qu’elle a imaginé pour neuf interprètes crée un espace où les parcours s’entrelacent, où le geste traditionnel reparaît, transformé par la modernité.
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