François est une fabulation de la jeunesse du grand Saint d’Assise dans sa quête épique de la spiritualité. Fo explique que François s’était lui-même auto- défini en déclarant d’entrée de jeu : « Je suis le jongleur au service de Dieu ». S’affubler du qualificatif de bouffon satirique, au début du treizième siècle, était une provocation très dangereuse… Il fallait être fou ou masochiste. Les jongleurs étaient aimés du petit peuple mais haïs et persécutés par les puissants.

François est donc cet illuminé magnifique, ce pouilleux visionnaire qui, depuis son lointain...

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