C’est d’abord le désir de continuer un travail de direction et de complicité avec
deux comédiens (Sandrine Molaro et Gilles-Vincent Kapps), qui jouaient dans ma
dernière création au théâtre du Lucernaire à Paris, « Je t’avais dit, tu m’avais
dit » de Jean Tardieu.

Sensibles à la question de la liberté, nous avons été touchés par le texte de
Xavier Durringer, EX-VOTO, et la rencontre de Léa et Gus, les deux personnages
de cette pièce.

Mon voeu est de réveiller une énergie irrationnelle, une force de vie toute
communicative, une forme de liberté enfouie. Une liberté que souvent nous
oublions face à un quotidien fait de forces trop rationnelles et qui a tendance à
nous couper de nous-mêmes.

Christophe Luthringer