: Présentation
Il est question d’un bûcheron et du cri de l’arbre, de l’importance des bretelles et des perruches à Bruxelles, du rhume d’un petit Prince, de la montre-étalon, des miroirs et de Lewis Carroll.
Il est aussi question du cours des choses et du temps qui passe, du pouvoir, de l’amour, de ce qui nous fait nous lever le matin.
C’est stimulant, c’est déroutant, et la magie opère, et on se laisse guider dans l’entrelac des mots, dans l’entrechoc des sons. Un mot en amène un autre. La musique est là qui souligne et suggère.
Le dramaturge belge, Stanislas Cotton, parle de l’un et de l’autre, de soi et de chacun, de nos élans, de nos émois. C’est un cabaret de curiosités, un collage de textes subtilement composé. Des "bulles de rêves", des bouts de vie ponctués de chansons. On est dans la cité et dans l’ivresse du corps, au creux de l’intime, dans les fièvres et les affres de la vie. C’est plein de sous-entendus et d’équivoques. C’est tendre et rugueux, étrange et farfelu.
C’est un OTM. Un "objet théâtral musical" qui fait envie...
Deux hommes, deux femmes, deux noirs, deux blancs, comme les touches d’un piano désaccordé et qui cahin-caha enluminent joliment de notes singulières ces vies justes ébauchées.
Vincent Goethals
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