: Présentation
Ferdinando Camon s’entretient pour la première fois avec Primo Levi en 1982. Leurs conversations vont s’échelonner régulièrement jusqu’en 1986. Ainsi, deux hommes se parlent, deux « arpenteurs de mémoire » : l’un est de culture chrétienne, l’autre a vécu comme juif, quarante ans plus tôt, l’expérience d’Auschwitz. Jamais complaisante ni écrasante, la parole de Primo Levi est une arme pour appréhender le présent et prévenir des dangers à venir... Dans ces conversations chaleureuses, exigeantes et riches, il revient sur l’essentiel : le camp, le retour, l’écriture, l’Allemagne, la transmission de la mémoire. La force d’une parole où le ressassement et la virulence ne sont pas de mise.
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