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Cendres de cailloux

+ d'infos sur le texte de Daniel Danis
mise en scène Christian Bordeleau

: Présentation

LA PIÈCE


Cendres de Cailloux est un poème théâtral à quatre voix. Chaque chant est unique et se développe en harmonie ou en contrepoint des autres.
Ils sont quatre hommes et femmes aux vies entrelacées pendant sept ans qui nous convient au récit de cette histoire, une de celles qui marquent à jamais.
Chacun son point de vue, sa version de ce qui s’est passé dans ce coin de pays blotti au sein d’une nature imposante comme le sont souvent les forêts d’Amérique du Nord.
Ce besoin impérieux de transmettre mobilise l’énergie des quatre personnages qui se remémorent cette période de passion intense.


Clermont, en quête de renaissance, quitte la grande ville, Montréal, pour s’installer près de St-Raymond de Portneuf, une petite ville isolée, avec Pascale, sa fille, onze ans. Sur la ferme qu’il a rachetée, l’ex-citadin s’abrutit de travail…
Pascale va à l’école, grandit, aide et protège son père contre les tentatives d’intrusion dans leur cercle fermé. Tant pour lui que pour se guérir elle-même.
Shirley, amazone de campagne, égérie d’un quatuor de désœuvrés, s’est jurée d’ouvrir une brèche dans la carapace cet homme vite surnommé « Caillou ».
Coco, amoureux de Shirley, pour qui il n’est qu’un partenaire sexuel facile, lui imposera la réalisation du défi lancé. Clan contre liberté.


LE PROJET


Faire vivre à Paris ce texte presque inconnu mais parmi les plus beaux, les plus forts, qu’ait écrit Daniel Danis. Comme un poème Shakespearien, tel un roman policier, l’esprit humain y est minutieusement décrit. On est happé par le récit.



Dans sa précédente création, « A toi pour toujours, ta Marie-Lou », Christian Bordeleau mettait en lumière cette question obsédante «Peut-on échapper à son destin ? Comment ? ». Ici avec « Cendres de cailloux », il interroge la promesse d’une parole donnée : « Pourquoi choisit-on toujours trop tard d’arrêter la machine infernale ? »


LA MISE EN SCÈNE


Dans la campagne québécoise, la nature trop grande raconte la vie, la mort, l’amour, la folie, dans l’ignorance l’un de l’autre. Shirley, Clermont, Pascale, Coco disent leurs joies, leurs désirs, les violences de leurs existences, rient en faisant la chronique des événements, des émotions amoureuses, la jalousie, le désabusement, jusqu’à la délivrance de ce qui les noue les uns aux autres.


La musique originale de Geneviève Morissette accompagnera leurs propos, les stimulera, les soulignera, telle la bande originale d’un film qui suscite, souligne, renforce les émotions, les annonce, les amplifie.


Le décor symbolique et intemporel, sera un écrin mettant en valeur les acteurs nous racontant leur histoire extraordinaire.
La lumière amplifiera cette mise en valeur du texte par les comédiens, cernera, isolera parfois certains personnages.
Les costumes seront modernes, actuels.

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