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Accueil de « Primera Carta de San Pablo a los Corintios »

Primera Carta de San Pablo a los Corintios

mise en scène Angélica Liddell

On en parle dans la presse et sur le web

Les Trois Coups

Image de la critique de Les Trois Coups

jeudi 12 novembre 2015

Le corps glorieux

Par Anna Colléoc

Après « You Are My Destiny » qui nous avait déjà conquis, Angélica Liddell revient à l’Odéon pour le deuxième volet de sa trilogie destinée à chercher la lumière au creux des ténèbres, avec son spectacle « Primera carta de san Pablo a los Corintios », où le mysticisme devient rayonnant....

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Culturopoing

Image de la critique de Culturopoing

jeudi 12 novembre 2015

« Je ne peux éviter la confession »

Par Simon Gérard

Angelica Liddell devrait être vue au Théâtre de l’Odéon de la même manière que l’on voit Amélie Nothomb sur les présentoirs des librairies en période de rentrée littéraire : avec un sourire en coin, et l’intime conviction qu’il y a une arnaque derrière tout ça, que cette année, on ne se fera pas avoir. Le moment n’est pas encore venu : tel un essaim de mouches, le petit monde des amateurs du théâtre vient encore s’agglutiner chaque année sur le p...

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Culturopoing

Image de la critique de Culturopoing

jeudi 12 novembre 2015

Derrière la confession, Liddell se joue de nous.

Par Simon Gérard

Angelica Liddell devrait être vue au Théâtre de l’Odéon de la même manière que l’on voit Amélie Nothomb sur les présentoirs des librairies en période de rentrée littéraire : avec un sourire en coin, et l’intime conviction qu’il y a une arnaque derrière tout ça, que cette année, on ne se fera pas avoir....

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lesechos.fr

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vendredi 06 novembre 2015

L'ardente en scène

Par Philippe Chevilley

Elle est capable de tout : chanter, la voix soûle, une chanson mariachi féministe et se scarifier en scène (La Casa de la fuerza) ; faire souffrir et danser avec dix hommes nus (Le Viol de Lucrèce). Elle est femme en colère, comédienne survoltée, plasticienne débridée, révolutionnaire et mystique. Son théâtre – une dizaine de pièces à ce jour – est une autofiction au long cours, parfois agaçante, le plus souvent bouleversante. En savoir plus sur...

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lundi 31 août 2015

Cantata BWV 4, Christ lag in Todesbanden. Oh, Charles !

Par Kristina D'Agostin

Putain qu’est-ce qu’il est dur d’écrire sur tes spectacles… À quoi cela rimerait-il d’écrire que des kilomètres de rideaux de velours rouge qui recouvrent le plateau, que tu fouilles, que tu éructes, que tu hurles, que ton corps se désarticule – alors que ce n’est même pas si vrai que cela ? Je me pose vraiment la question. À quoi rime cette critique qui est censée te donner d’aller voir ton spectacle ou qui te donne l’avis contraire ?...

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Image de la critique de Les Inrocks

vendredi 20 mars 2015

L’amour qui fait mal

Par Fabienne Arvers

Avec la création en fin de soirée de la Première épître de saint Paul aux Corinthiens. Cantate BWV 4, Christ lag in Todesbanden. Oh, Charles !, Angelica Liddell poursuit son Cycle des résurrections entamé avec You are my Destiny, créé à l’automne 2014 et dont elle présentera la troisième pièce, Tandy, à la fin du festival Programme commun. Une liturgie théâtrale qui creuse et fouaille dans la chair malmenée de l’être pour en extirper le noyau...

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Image de la critique de 24heures.ch/

mercredi 18 mars 2015

Angélica Liddell défend à Lausanne sa passion antique

Par Entretien par Boris Senff

La fatalité implacable de la cruelle Antiquité, le dolorisme médiéval le plus décomplexé et les flots mugissants de la passion shakespearienne ne se sont pas déployés en vain dans l’histoire puisque, au XXIe siècle, une Angélica Liddell en reconnaît toujours les puissances agissantes. La dramaturge espagnole de 48 ans sature, scandalise, arrache des lambeaux à l’actualité et fouille ses entrailles comme celles de l’histoire dans un même mouvement...

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Financial times

Image de la critique de Financial times

mercredi 11 novembre 2015

‘Searing intensity’

Par Laura Cappelle

Who’s afraid of Angélica Liddell? The Spanish artist, who refuses to show her work in her home country because of lack of support, is back with another abrasive creation, Primera carta de San Pablo a los Corintios (St Paul’s First Letter to the Corinthians), performed in Spanish. Her take on religion and love drew its share of boos and whistles in Paris, but it offers moments of searing intensity....

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Pascal Rambert

du jeu. 25/04/24 au sam. 04/05/24

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Théâtre 14