mercredi 27 décembre 2017
« Anatomie du silence » de Maxence Rey
Par Thomas Hahn
Un solo radical, en dialogue avec les arts plastiques. Pour contrebalancer le vacarme du monde. Couchée au sol tel un gisant, Maxence Rey se met à bouger, d’abord de manière presque imperceptible. Dans son défi de la perception, Anatomie du silence est une pièce de résistance. Car il faut de la volonté pour s’opposer à une accélération générale de la vie qui fait perdre la raison...