Distribution
Présentation
Fin des années soixante. Philippe Adrien est alors auteur
dramatique : En passant par la Lorraine ; La Baye – mise en
scène d’Antoine Bourseiller au Festival d’Avignon – puis
Albert 1er.
Un appartement au 40, rue Albert Ier. Le téléphone sonne.
C’est une erreur, mais Henri entretient le quiproquo et invite
Claire à rencontrer chez lui Albert, qu’elle aime. Lui-même se
présente comme Albert Ier puis prend Arthur pour Albert 2 ;
quant à Albert 3, l’ex de Claire, il sort avec France, qu’Albert Ier
surnomme Albertine, et qui se découvre des penchants
saphiques avec Anna… Albert Ier, en metteur en scène habile,
manipule tout ce petit monde. Est-ce une thérapie comme il
affecte de le croire? Où mène ce jeu de rôles? À l’extérieur, c’est
le combat de rue avec les flics. Cette pièce, aussi électrique
qu’une improvisation, évoque par ses ruptures, ses rythmes et
ses intensités, une session de jazz. Alors, Albert Ier, une simple
blague? Non, mais une pièce-vertige, née du désir de désordre,
où l’identité vole en éclats.
Thomas Derichebourg
Calendrier
Première représentation référencée
Dernière(s) représentation(s) référencée(s)
Paris
Du
mar. 18/11/08
au
sam. 20/12/08
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Théâtre de la Tempête |
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