: Présentation
Des maux / mots qui se frottent, se mélangent, qui libèrent de l’exil pour se donner au vent, à l’éternel recommencement de l’aurore, une poussière qui se roule dans la brise qui souffle sur la plage. La terre comme souvenirs et mémoire politiques, une saga de dictatures qui condamnent l’être de poussière à la mort. La terre comme se battre pour pousser en fleurs, serrer fort la houe pour gratter les parfums des rosées du Mayombe. La terre comme affirmation de soi fait de poussière. La terre comme être libre de voguer dans la mer des jacinthes. La terre qui ne nous appartient plus, et fait de nous des oiseaux migrateurs.
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