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Sur scène ce soir : "Cap au pire" de Samuel Beckett avec Denis Lavant, "Actrice" de Pascal Rambert et "Singin' in the Rain" au Grand Palais.
Ce soir, le rideau se lève sur trois pièces : "Mélancolie(s)" d'après deux pièces de Tchekhov, une adaptation de Festen à l'Odéon et "Le Malade imaginaire" au théâtre Déjazet.
Théâtre ce soir avec une mise en scène de Thomas Ostermeier pour "Professeur Bernhardi" ; "Maîtres anciens", d'après le roman de Thomas Bernhard et "Je suis un pays" de Vincent Macaigne aux Amandiers.
"Il nous montre des gens blasés, aux rêves rétrécis par la nostalgie"
Théâtre ce soir avec "Jusque dans vos bras", création de Jean-Christophe Meurisse ; le diptyque "Memories of Sarajevo" et "Dans les ruines d'Athènes" et "Bella Figura" de Yasmina Reza.
Théâtre ce soir : Mohamed el Khatib met en scène des supporters du RC Lens dans "Stadium", "Doreen" s'inspire de la lettre d'André Gorz à sa femme et "F(l)ammes" s'interroge sur l'identité de jeunes femmes de quartiers populaires.
La Dispute et ses critiques lèvent le voile sur trois créations théâtrales : "Vania" de Tchekhov à la Comédie française, "Ex Anima", dernier spectacle équestre de Bartabas et "Ceux qui restent".
Un nouveau trio de critiques croisent le fer à propos de trois pièces de théâtre : "Democracy in America" de Romeo Castellucci, "Un album" de Laetitia Dosch et "Le poète aveugle" de Jan Lauwers.
Ce soir, La Dispute lève ses rideaux sur trois pièces : "Haute surveillance" de Jean Genet dans une mise en scène de Cédric Gourmelon à la Comédie française ; "Démons", mis en scène par Lorraine de Sagazan au théâtre Monfort et "Bouvard et Pécuchet" au théâtre de la Ville.
Dans cette Dispute dramatique, nos critiques débattront du "Tartuffe" de Molière dans une mise en scène de Michel Fau ; de Géraldine Martineau, metteur en scène de "La mort de Tintagiles" de Maurice Maeterlinck et enfin du spectacle "GRANDE-", des circassiens Tsirihaka Harrivel et Vimala Pons.
Dans cette Dispute théâtrale, une adaptation des "Particules élémentaires" de Michel Houellebecq, dans une mise en scène de Julien Gosselin ; Kerry James à l'affiche de "A vif" et enfin, "La Pitié dangereuse", un texte de Stefan Zweig mis en scène par Simon McBurney.
Au programme ce soir, une Dispute théâtrale avec "Agatha", mise en scène de Hans Peter Cloos ; "La Nostalgie des blattes" de Pierre Notte au théâtre du Rond-Point et "Au but", un texte de Thomas Bernhard mis en scène par Christophe Perton.
Au programme de cette première Dispute de la saison nous vous proposons un retour sur le Festival d'Avignon en compagnie de Fabienne Pascaud, Jean-Christophe Brianchon et Philippe Chevilley. Il y sera question d'Antigone (Satoshi Miyagi), Saïgon (Caroline Guiela Nguyen) et Ibsen Huis (Simon Stone).
A l'affiche de cette Dispute, Claude Régy donne vie au verbe de Georg Trakl tandis que Julie Deliquet relit le "Vania" de Tchekhov. Avec René Solis, Philippe Chevilley et Arnaud Laporte.
Mythes. Arnaud Laporte, Fabienne Pascaud et Anna Sigalevitch se penchent ce soir sur les versions de "Dom Juan" de Jean-François Sivadier à l'Odéon et de "Antoine et Cléopâtre", librement adapté par Tiago Rodrigues au Théâtre Bastille.
Au sommaire de cette Dispute cinéma : Jean-Luc Lagarce revisité par Xavier Dolan, une amitié entre adolescents dans un Brooklyn en pleine mutation, et un immigré mexicain contraint de rejoindre l'armée pour devenir américain. Avec Antoine Guillot, Julien Gester, Thierry Chèze et Arnaud Laporte.
Odéon tragique, complexe, nostalgique ce soir, avec "La Mouette" de Tchekhov et mis en scène par Thomas Ostermeier, et "Nous sommes repus mais pas repentis", dont la conception est réalisée par Séverine Chavrier. Joëlle Gayot et René Solis nous accompagneront.
Ce soir Philippe Chevilley et Marie-José Sirach débattent à propos de Théâtre, Ça ira (1) Fin de Louis de Joel Pommerat et Nobody de Cyril Teste sont au cœur de La Dispute avec Arnaud Laporte.
Ce soir, nos critiques se penchent sur : "La Mauvaise pente" de Chris Womersley paru en mai aux éditions Albin Michel. L'auteur des "Affligés" nous plonge dans un roman noir, un conte moderne sur l'aliénation et le désespoir. -"Lettres, tome I : 1929-1940" de Samuel Beckett , traduit de l'anglais par André Topia et qui sera publié chez Gallimard le 20 mai. Samuel Beckett qui est avant tout connu et reconnu pour sa prose montre ici un nouveau visage à travers sa correspondance littéraire .