WebThéâtre
lundi 19 mars 2018
Sinueux dangers d’une épidémie idéologique
Par Jean Chollet
Après avoir évoqué la peste dans son roman éponyme en 1947, Albert Camus reprend cette thématique l'année suivante pour cette pièce originale écrite à...
France
WebThéâtre
lundi 19 mars 2018
Sinueux dangers d’une épidémie idéologique
Par Jean Chollet
Après avoir évoqué la peste dans son roman éponyme en 1947, Albert Camus reprend cette thématique l'année suivante pour cette pièce originale écrite à...
ARTE Info
samedi 11 mars 2017
"L'Etat de siège" au théâtre, Camus toujours actuel
Par Lionel Jullien
La pièce d'Albert Camus reste d'une actualité brulante en ces temps de triomphe sécuritaire et de gouvernement par la peur....
France Inter
mardi 07 mars 2017
Par Valérie Guédot
Une allégorie vertigineuse, un mythe moderne inventé par Albert Camus avec une liberté fascinante. Un théâtre total et choral, à la fois véridique et poétique....
Journal La Terrasse.fr
mardi 21 février 2017
Pourquoi avoir choisi L’Etat de siège ?
Par Catherine Robert
Emmanuel Demarcy-Mota et ses fidèles s’emparent de la pièce de Camus, qui ausculte les ravages de la peur et du désarroi et imagine les moyens d’y résister, grâce à la vigilance d’une intelligence sereine....
France Culture
vendredi 01 juillet 2016
Rencontre avec l'auteur et metteur en scène Alain Ubaldi
Par Isabelle Lassalle
Nuit. Intérieur sombre. Un homme seul. Voix off. Dans le noir, le soir, une bande son résonne. Fragments d’une vie, récit morcelé… dix minutes de retard et le quotidien d’un homme, qu’il pensait immuable, se disloque. Licencié. Entre réel et imaginaire, voix intérieure et souvenirs, un homme se raconte, un homme à la dérive essaye de comprendre comment la société a fait de lui un être en marge.
lundi 21 septembre 2015
Est-il possible de faire retentir le bruit de la solitude ?
Par Evelyne Trân
Un homme qui vient d'être licencié pour dix minutes de retard à son poste de travail exprime dans un monologue intérieur, le sentiment terrible d'être soudain coupé du monde. La douleur est morale . Elle réveille toutes les blessures antérieures, elle est pernicieuse, lancinante et surtout elle n'a pas d'autre interlocuteur que le sujet lui même .
Mediapart
vendredi 18 septembre 2015
Que faire d'autre sinon accepter ?
Par Aghian Serco
Ce matin-là, il se prépara à aller à son travail. Rien d'extraordinaire à cela. En chemin, un accident de la circulation, la femme lui est tombée dans les bras. 10 minutes de retard à son poste. Ce matin-là, et pour la première fois depuis 10 ans qu'il travaille dans cette boîte, le patron circule dans l'entrée et croise le retardataire : aussitôt, il est licencié....
Un fauteuil pour l'Orchestre
vendredi 18 septembre 2015
j'y croyais… j'y croyais si fort que......
Par Victoria Fourel
C’est affreusement commun. Presque sans intérêt. C’est l’histoire d’un type qui se fait licencier. Et voilà. La journée qui avait pourtant bien commencé, la scène passée au ralenti, la chute, la place d’homme, tout est passé en revue par l’excellent texte d’Alain Ubaldi.
http://blogs.mediapart.fr/blog/dashiell-donello
jeudi 17 septembre 2015
Le monde est tel qu’il est, et nous n’y pouvons rien.
Par Dashiell Donello
Le monde est tel qu’il est, et nous n’y pouvons rien. Alors faut-il s’y accrocher ou l’accepter tel qu’il est, quitte à franchir nos limites. Qu’est-ce que la normalité ? Travailler toute la sainte journée ou avoir dix minutes de retard ? Où est la nécessité, l’improbable sécurité d’un travail ? La fatalité serait-elle la seule certitude qu’il nous reste ? Être licencié pour un retard, n’est-ce pas être plus malade que le commun des mortels ?...
Lire l'article sur http://blogs.mediapart.fr/blog/dashiell-donello
vendredi 09 juillet 2010
Par Anaïs Heluin
Au-dehors d’Alain Ubaldi, nous fait quitter le parcours grégaire des spectacles de pur divertissement pour un univers à la beauté hypnotique...