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Dernières critiques
Toutelaculture
mercredi 13 février 2019
Les douloureux exils amoureux de Gurshad Shaheman à La Commune
Par Amélie Blaustein Niddam
Il pourra toujours dire que c’est pour l’amour du prophète est l’un des plus gros succès du dernier festival d’Avignon. Il fait escale en banlieue …...
L'Alchimie du Verbe
lundi 23 juillet 2018
Par Louise Rulh
Que sans cesse le souffle de ces rêves reste plus fort que ces obstacles, et que ce mouvement reste puissant, malgré son manque de nuance, et qu’il permette un réel déplacement physique et psychologique de ceux qu’il atteint, voilà ce qu’on peut souhaiter au reste de la tournée de ce spectacle....
La Croix
mercredi 18 juillet 2018
Exilés, faute de pouvoir être qui ils sont
Par Paula Boyer
Dans cet oratorio pour le théâtre, le comédien et metteur en scène d’origine iranienne Gurshad Shaheman éclaire le drame des jeunes qui doivent fuir le Maghreb et le Moyen-Orient en raison leur orientation sexuelle....
L'insensé
mardi 17 juillet 2018
Par Chloé Larmet
Créée avec la dernière promotion de l’Ecole régionale d’acteurs de Cannes-Marseilles et présentée au Gymnase du Lycée Saint Joseph au Festival d'Avignon IN, la pièce de Gurshad Shaheman s’annonce comme un « oratorio théâtral » performatif où paroles d’exilés, de jeunes comédiens et composition électro-acoustique se mêlent....
Politis.fr
lundi 16 juillet 2018
Par Anaïs Héluin
L'artiste iranien Gurshad Shaheman croise subtilement deux thèmes centraux du festival d'Avignon 2018 : la migration et le genre....
RTBF Culture
dimanche 15 juillet 2018
Une exploration du "genre", un des fils rouges du festival. Entre document et art.
Par Christian Jade
C’est un "concert documentaire" affirme son auteur, le Français d’origine iranienne, Gurshad Shaheman pour décrire son témoignage très esthétique sur les immigrés de Calais avec un seul angle, la communauté LGTB. Ici, dit Shaheman, "la théâtralité est d’abord dans la musique de Lucien Gaudion"....
Inferno
samedi 14 juillet 2018
Par Yves Kafka
Si dans « Pourama Pourama » – trilogie constituée de trois volets emboîtés les uns dans les autres « Touch me, Taste me, Trade me » – l’artiste performer iranien Gurshad Shaheman, seul sur le plateau, nous avait littéralement embarqués dans sa propre histoire – faite de sensualité à fleur de peau, de blessures et de belles amours, d’exils et de nouveaux départs, lui qui est né dans l’Iran des années de guerre -, sa nouvelle création est tout autant poignante, tout aussi « essentielle ». Elle met en jeu non plus ses propres mots,
Sceneweb
samedi 14 juillet 2018
L’oratorio fantôme de Gurshad Shaheman
Par Christophe Candoni
Après son triptyque autofictionnel "Pourama Pourama", l’artiste iranien Gurshad Shaheman quitte le plateau dans Il pourra toujours dire que c’est pour l’amour du prophète pour mettre en scène d’autres voix d’exilés. Il imagine pour cela un étonnant oratorio où guerre et amour résonnent à l’unisson....
Le Monde.fr
vendredi 13 juillet 2018
Avignon croise les routes de l’amour et de l’exil
Par Brigitte Salino
L’Iranien Gurshad Shaheman entrelace avec brio des récits recueillis à Calais, en particulier dans la communauté LGBT. La voilà, la bonne surprise que l’on attendait à Avignon : elle s’appelle Il pourra toujours dire que c’est pour l’amour du prophète, et c’est une création de Gurshad Shaheman, dont on n’a pas fini de parler. Acteur, auteur et metteur en scène, né en Iran en 1978,...
Figaro
vendredi 13 juillet 2018
Festival d'Avignon : Gurshad Shaheman, le conteur aux yeux persans
Par Armelle Héliot
Écrivain, metteur en scène d'origine iranienne, il a recueilli les récits d'hommes et de femmes qui ont du fuir leur pays. L'amour est le secret de ces vies recomposées....