vendredi 19 avril 2013
Une égérie burlesque trop vulgaire pour être vrai
Par Sophie Lespiaux
Yann Dacosta présente, dans le cadre d'un Triptyque Fassbinder avec la compagnie Le Chat Foin, Les Larmes amères de Petra von Kant (1971), une pièce rendue célèbre par la propre version cinématographique du réalisateur allemand Rainer Werner Fassbinder. Mis en scène dans un univers glamour, ce huis clos féminin où travaillent les rapports de domination sociale et sentimentale est entaché de traits caricaturaux qui affaiblissent la crédibilité des...