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Marie Szersnovicz

Belgique

Dernières critiques

Image de Simple

Sceneweb

jeudi 13 juillet 2023

Ayelin Parolin avec simplicité, mais créativité aux Hivernales

Par Christophe Candoni

Trois géniaux danseurs-histrions revisitent des pas de danse classique et contemporaine dans SIMPLE, une performance drôlement inspirée qui tient autant de la parodie que du pastiche....

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Image de Nos ailes brûlent aussi

Les Inrocks

jeudi 23 mars 2023

Myriam Marzouki clame haut et fort son désir de démocratie dans “Nos ailes brûlent aussi”

Par Fabienne Arvers

Faire entendre la diversité des voix qui ont pris part à la révolution tunisienne et la colère, la désillusion ou les rêves d’aujourd’hui : un défi magnifiquement relevé....

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Image de Simple

Un Fauteuil pour l'orchestre

jeudi 21 avril 2022

Revenir au plaisir pur et sans esbrouffe de la danse.

Par Denis Sanglard

Après Weg, il y a peu au Théâtre de Chaillot, voici Simple, chorégraphie de l’inventive Ayelen Parolin. Simple soit, en apparence, un refus de la sophistication et une propension au jeu, aux citations chorégraphiques, du classique au contemporain, du folklore au sport de combat, des pistes de dancefloor au cinéma muet, promptement moulinés, passés à la broyeuse et dont il ne reste rien que des...

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Image de Elles vivent

I/O Gazette

lundi 24 janvier 2022

Ecologie de la parole

Par Mathias Daval

C’est en plasticien qu’Antoine Defoort, au sein de l’Amicale de production, conçoit la réjouissante performance « Elles vivent » sous la forme d’un exercice de pensée : quelle pourrait être une écologie de la parole dans un débat démocratique ? Vrai-faux parti politique dans un futur proche, la surréaliste PCM (« Plateforme Contexte & Modalités ») se......

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Image de Elles vivent

Sceneweb

jeudi 20 janvier 2022

Dans les bois, Antoine Defoort réinvente les campagnes

Par Eric Demey

Ex Feu de tout bois renommé Elles vivent après un lancement contrarié par le Covid, la dernière création d’Antoine Defoort tombe à point nommé. Il y est en effet notamment question de magie paradoxale, de Pokémons et… de campagne électorale. A la manière de l’artiste bien sûr, par la bande, par l’absurde, par la dérision ...

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Image de Que viennent les Barbares

Libération.fr

jeudi 28 mars 2019

Des «Barbares» en crise d’identités

Par Anne Diatkine

Convoquant des personnalités mythiques, Myriam Marzouki et Sébastien Lepotvin questionnent le racisme....

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Image de Que viennent les Barbares

SaphirNews.com

jeudi 21 mars 2019

« Que viennent les barbares » : le théâtre politique et poétique de Myriam Marzouki

Par Huê Trinh Nguyen

La France a été terre d’accueil pour James Baldwin, à l’heure où sévissait encore la ségrégation aux États-Unis. Elle se dit pays des droits de l’homme. Mais elle n’est pas exempte de traumatismes mal digérés qui fabriquent des citoyens de seconde zone. La pièce de Myriam Marzouki « Que viennent......

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Image de Que viennent les Barbares

Sceneweb

mercredi 20 mars 2019

Les barbares fantômes de Myriam Marzouki

Par Vincent Bouquet

L’autrice et metteuse en scène fouille dans l’histoire, les lois et les représentations, à la recherche de ces éléments qui pourraient expliquer pourquoi certains citoyens ne sont pas perçus comme français. Un spectacle d’une remarquable subtilité, loin, très loin des clichés....

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Image de Que viennent les Barbares

Un fauteuil pour l'orchestre

lundi 18 mars 2019

« Qu’est-ce qu’être français aujourd’hui ? »

Par Toulouse

Avec Que viennent les Barbares, Myriam Marzouki ouvre un débat qui transpire d’actualité et pose cette question qui peut tant déranger : « qu’est-ce qu’être français aujourd’hui ? »...

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Image de 1913

theaterkritik.ch

mercredi 02 janvier 2013

Cent bougies pour la Comédie

Par joël aguet, maurice taszman

Le 24 janvier 1913 s’ouvrait la Comédie de Genève dans le bâtiment actuel. L’auteur, Mathieu Bertholet, empoigne le sujet festif tout en montrant son caractère éminemment évanescent. Ses personnages répètent volontiers qu’ils disent une chose « non pas parce qu’elle est vraie mais parce qu’on a plaisir à la dire.» Une façon de danser avec l’Histoire qui a, c’est vrai, un côté canaille.

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