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Dernières critiques
Le Bruit du off tribune
jeudi 07 novembre 2019
« Points de non-retour » : une fiction-réalité très politique
Par Emmanuel Serafini
Contrairement à Pascal Rambert, devenu maître dans le monologue fleuve, Alexandra Badéa revendique le dialogue comme un instrument politique et réussit, avec le deuxième volet de sa trilogie Points de non-retour une fiction-réelle d’un moment peu reluisant de notre Histoire de France.
Bulles de Culture
vendredi 26 juillet 2019
« Points de non-retour [Quais de Seine] » : chronique du 17 octobre 1961
Par Morgane P.
C’est à l’événement peu raconté de la manifestation du 17 octobre 1961 — durant laquelle des milliers de manifestants algériens ont été arrêtés et certains jetés dans la Seine — que s’est attaqué Alexandra Badea avec le deuxième volet de Points de non retour.
Les Trois Coups
jeudi 18 juillet 2019
Par Juliette Nadal
Face aux silences de l’Histoire, que faire, que dire, qui ne nous renvoie perpétuellement à notre propre impuissance ? Ce second volet de la trilogie « Points de non retour » d’Alexandra Badea prend cette question à bras le corps et nous emmène dans une quête réparatrice....
WebThéâtre
dimanche 14 juillet 2019
A. la recherche de la parole manquante
Par Corinne Denailles
Deuxième volet d’une trilogie intitulé Points de non-retour, Quais de Seine interroge l’empreinte laissée par l’histoire politique sur les individus, comment l’intimité des gens est façonnée par la grande Histoire, ici la colonisation et ses conséquences sur plusieurs générations....
Le Monde.fr
mardi 09 juillet 2019
Pour ne pas en finir avec la guerre d’Algérie
Par Brigitte Salino
Dans « Points de non-retour [Quais de Seine] », Alexandra Badea revient sur le 17 octobre 1961, où des Algériens qui manifestaient pacifiquement ont été jetés dans la Seine....
Sceneweb
samedi 06 juillet 2019
Alexandra Badea pulvérise l’Histoire
Par Anaïs Heluin
Après le massacre de Thiaroye, c’est à une autre tragédie de l’histoire coloniale française que s’intéresse Alexandra Badea : l’exécution de plusieurs centaines de manifestants algériens à Paris, le 17 octobre 1961. Créé au Festival d’Avignon, Points de non-retour (Quais de Seine) s’enlise dans son désir de dénonciation....
Télérama.fr
samedi 06 juillet 2019
“Points de Non-Retour” ou comment se réconcilier avec l'histoire
Par Fabienne Pascaud
La metteuse en scène Alexandra Badea continue d’explore la question de l’identité et de la nationalité en consacrant un beau et triste deuxième volet de sa trilogie au massacre du 17 octobre 1961....
Les Inrocks
vendredi 05 juillet 2019
Alexandra Badea poursuit l’examen de conscience de notre histoire
Par Fabienne Arvers
Entre psychogénéalogie et devoir de mémoire, la metteure en scène franco-roumaine s'est penchée sur le drame d'octobre 1961, qui a vu la police parisienne réprimer en toute impunité une manifestation d’Algériens pacifistes....
dimanche 24 mars 2013
Par Saad
Ma mère qui chantait sur un phare est un spectacle qui se démarque avant tout par son écriture, identifiableau théâtre-récit. Celle-ci se partage donc entre dialogues et adresses au public, utilisées pour commenter ou raconter ce qui s’est passé ou se passe au moment même de l’action. Si votre serviteur admet volontiers qu’il n’est pas très client de cette façon de « raconter », qui le porte généralement à confusion du fait de ces incessants alle...
lundi 07 janvier 2013
Et la mer(e) et l’amour ont l’amer pour partage
Par Laura Plas
François Rancillac crée le beau texte de Gilles Granouillet, « Ma mère qui chantait sur un phare », dans une mise en scène qui fait la part belle aux acteurs et à notre imagination. Un moment de poésie braconné sur les terres de l’enfance, entre tribulations picaresques et fantaisie, amour et amertume...