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Dernières critiques
Libération
mardi 11 juillet 2023
Festival d’Avignon : avec «J’aime» de Laure Werckmann, ce qu’aimer veut dire
Par Laurent Goumarre
Pour sa première mise en scène, la comédienne adapte le roman du même nom de Nane Beauregard et déplie l’émancipation d’une femme dans sa parole. Magistral....
Artistikrezo
mercredi 27 mars 2019
« Fêlures », le beau silence masculin de D’ de Kabal
Par Hélène Kuttner
Dans un spectacle poétique, entre slam et récit, scansions et musique planante, analyses sociologiques et solos de danse, D’ de Kabal, entouré de trois compagnons artistes, nous offre un très personnel moment de théâtre où il dépouille, comme la peau d’une orange, l’écorce résistante de la masculinité. Comment conduire les hommes à faire la paix …...
Club de Mediapart
lundi 25 mars 2019
Etre ou ne pas être un homme, un discours argumenté de D’de Kabal
Par Jean-Pierre Thibaudat
L’acteur, slameur, discoureur et mâle non dominant, D’de Kabal signe, dit et met en scène « Fêlures, le silence des hommes ». L’érection est-elle au centre de l’homme ? Comment conjuguer le masculin au féminin ? Ce sont des questions que pose et commente ce spectacle en manque de théâtre....
Plus de Off
dimanche 15 juillet 2018
« Un homme. Une voiture. Deux explosions. »
Par Walter Géhin
« Un homme. Une voiture. Deux explosions. » La vie de Amor, un jeune homme pourtant sans histoires, diplômé et sociable, vient de basculer. Rien de tangible cependant, juste une présomption, celle que les regards qui s’attardent sur lui vont ou ont déjà changé
Cultutruc
lundi 05 mars 2018
« J’appelle mes frères et je dis … »
Par Pauline Moisan
« Tu vas bien? » « Tu as entendu ce qu’il s’est passé ? » « Pourquoi tu réponds pas ? » « Tenons-nous prêts. » Tenons-nous prêts à affronter les regards, les méfiances, les accusations, la peur d’être pris pour quelqu’un qu’on n’est pas....
jeudi 03 avril 2014
Oncle Vania, ou l'irrésistible ascencion d'Eric Lacascade
Par Yves Kafka
Une propriété perdue quelque part à la campagne dont on ne verra rien. Une « maison-mère » qui se délite au fil du temps qui passe et avec laquelle il va bien falloir se résigner à rompre les liens. Un anniversaire à fêter dont l’intéressé n’a que faire, « habité » par les tourments causés par celle qu’il attend, en pure perte. Et puis ce docteur, pièce rapportée de cette grande famille
jeudi 20 mars 2014
Les comédiens livrent un jeu remarquablement tenu
Par Marion Alev
Cette saison, l’on aura rarement entendu ainsi Tchekhov. Christian Benedetti, montant Les Trois sœurs en novembre dernier, avait opté pour un débit effréné qui emportait durablement le spectateur dans le vertige de ces vies inaccomplies. On en ressortait comme défait de soi,
jeudi 20 mars 2014
La pluie de roses engourdissante et destructrice
Par Thomas Ngohong
En fin connaisseur de Tchekhov, Éric Lacascade fait résonner au Théâtre de la Ville la mélodie mélancolique et léthargique d’Oncle Vania dans un spectacle-fleuve de près de trois heures. Sa version mi-clownesque, mi-âpre de ce monument de la littérature développe le leitmotiv de la farce comme palliatif dérisoire à ce monde misérable et oisif, plombé par l’immobilisme et l’alcool......
vendredi 14 mars 2014
Eric Lacascade revient à son auteur de prédilection
Par Amaury Jacquet
Le metteur en scène Eric Lacascade revient à son auteur de prédilection Anton Tchekhov avec "Oncle Vania" dans une adaptation qui s’inspire également de sa......
samedi 08 mars 2014
Eric Lacascade retrouve Tchekhov, son premier amour - Rue89
Par Jean-Pierre Thibaudat
En mettant en scène « Oncle Vania » pièce mâtiné d’une pincée de « L’Esprit des bois » -- version primitive de « Vania » que l’auteur refusa de faire figurer dans ses œuvres complètes --, Eric Lacascade retrouve Tchekhov, son premier amour. Et comme chantait Piaf, ça lui rentre dans la peau par le bas, par le haut. Oui, chez lui, c’est physique.Naguère, au temps de sa jeunesse ("Lorsque on ne sait pas quoi dire, on dit "jeunesse, jeunesse"", di...