Le Monde.fr
vendredi 10 mars 2023
L’oraison funèbre d’une Terre qui agonise
Par Joëlle Gayot
Avec « Dark Was the Night », le dramaturge embarque le public pour une traversée cosmique, désenchantée et lucide....
Congo, (République démocratique du)
Le Monde.fr
vendredi 10 mars 2023
L’oraison funèbre d’une Terre qui agonise
Par Joëlle Gayot
Avec « Dark Was the Night », le dramaturge embarque le public pour une traversée cosmique, désenchantée et lucide....
WebThéâtre
lundi 12 décembre 2022
Les éclats de soleil des abeilles dans les ombres de la misère du monde.
Par Véronique Hotte
En 1977, rapporte le metteur en scène Emmanuel Meirieu, des astronautes se sont posé la question improbable de mise en contact avec des extra-terrestres, via des images, sons et mots. A Cap…...
Sceneweb
vendredi 14 octobre 2022
Dark was the night d'Emmanuel Meirieu
Par Vincent Bouquet
Si, pour entrer en contact avec des extraterrestres, vous deviez choisir des images, des sons et des mots pour vous présenter, lesquels choisiriez-vous ? En 1977, des astronautes se sont posé cette question improbable....
samedi 06 juin 2015
Ceux qui sont morts ne sont jamais partis
Par Evelyne Trân
Il y a tous ces fantômes qui se dressent, ceux des victimes de la guerre civile à Brazaville au Congo qui eût lieu entre 1993 et 2001 et les vivants, les rescapés, qui tentent de témoigner, de survivre . Le chorégraphe Bidiefono Delavallet, les danseurs, les musiciens et le chanteur Athaya MOKONZI se souviennent dans leurs tripes de l’horreur de la guerre. Ils manifestent que le pont n’est pas rompu entre les vivants et les morts comme dans
lundi 22 juillet 2013
Le deuil entre dans la transe, rapide comme un coup de fouet
Par Muriel Steinmetz
Cavalcades stupéfiantes, effondrements vertigineux : le Congolais DeLaVallet Bidiefono invente une danse survitaminée donnant à voir le compagnonnage spirituel entre les vivants et les morts, si familier en terre africaine....
lundi 22 juillet 2013
Par Aurore Krol
Crée sur la scène du cloître des Célestins à l’occasion de ce Festival d’Avignon, « Au-delà » convoque dix interprètes sous la direction du chorégraphe congolais DeLaVallet Bidiefono. Une danse vibrante et pluridisciplinaire, où la violence le dispute avec brio à la fougue.
jeudi 04 juillet 2013
DeLaVallet Bidiefono, mémoires d’outre-tombe
Par Marie-Christine Vernay
Dans «Au-delà», sur un texte de Dieudonné Niangouna, le chorégraphe congolais, plus vivant que jamais, convoque les morts...