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Dernières critiques
Crayonné au théâtre.
lundi 14 février 2022
Le petit monde en déséquilibre de Nathalie Béasse...
Par Christian Drapron
Metteure en scène et performeuse formée à l’école de Marina Abramovic, au croisement du théâtre, de la danse et des arts plastiques, Nathalie Béasse n’a cessé de construire des équilibres fragiles aux frontières du réel et de l’imaginaire.
Mediapart
vendredi 11 février 2022
Dernières nouvelles de la bande à Béasse
Par Jean-Pierre Thibaudat
Après la création de « Ceux-qui-vont-contre-le-vent »au dernier festival d’Avignon sous le ciel étoilé et les arches du Cloître des Carmes, Nathalie Béasse et sa bande sont de retour à leur annuel......
Un Fauteuil pour l'orchestre
vendredi 04 février 2022
Le brouhaha de spectateurs mécontents ?
Par Emmanuelle Saulnier-Cassia
Une rumeur, des échanges verbaux, des invectives se font entendre derrière les gradins. Le brouhaha de spectateurs mécontents ? Non, simplement la famille, le clan de Nathalie Béasse qui arrive sur scène ou plutôt parmi nous, devant nous, pour nous faire constater leurs différents auxquels on ne comprendra rien, mais l’on sait qu’il n’y a rien à comprendre. Il suffit de se laisser porter, de sentir, regarder, écouter, palpiter avec les mouvements...
Revue Etudes
mercredi 02 février 2022
Par Yvon Le Scanff
Si on devait décrire ce spectacle, on pourrait dire qu’il explore différentes lois du mouvement physique (et par incidence seulement, psychique). On a dit que le cinéma de Kubrick représentait un cerveau en crise, on pourrait tout aussi bien dire que le spectacle de Nathalie Béasse nous donne à voir un atome humain et nous faisait toucher de l’œil les différentes lois de son énergétique....
mouvement.net
jeudi 20 janvier 2022
Cure de jouvence pour esprits confinés
Par Agnès Dopff
Patchwork de tableaux vivants tricotés sous nos yeux, ceux-qui-vont-contre-le-vent offre une cure de jouvence à nos esprits confinés. Pour cette pièce aux teintes théâtrales, chorégraphiques et résolument plastiques, Nathalie Béasse mène son équipe d’interprètes comme les navettes juvéniles d’un grand métier à tisser....
mouvement.net
jeudi 20 janvier 2022
Par Agnès Dopff
Patchwork de tableaux vivants tricotés sous nos yeux, ceux-qui-vont-contre-le-vent offre une cure de jouvence à nos esprits confinés. Pour cette pièce aux teintes théâtrales, chorégraphiques et résolument plastiques, Nathalie Béasse mène son équipe d’interprètes comme les navettes juvéniles d’un grand métier à tisser....
Un Fauteuil pour l'orchestre
lundi 22 novembre 2021
Sarah Kane entre au répertoire de la Comédie-Française et c’est bien.
Par Denis Sanglard
Formidable auteure trop tôt disparue après cinq œuvres exigeantes, implacables, flamboyantes et désespérées, qui interrogeait l’humain dans ses retranchements ultimes, l’origine de la violence qui fonde notre système, le tragique de notre condition, intime ou politique, et posaient de fait la question centrale de sa représentation. En 1996 Anéantis, sa première pièce, fut une...
Le blog Les dits du théâtre
jeudi 18 novembre 2021
Anéantis (Blasted) de Sarah Kane pour la première fois à la Comédie-Française.
Par Dashiell Donello
Je me souviendrais longtemps de ma soirée théâtrale de ce 12 novembre 2021, alors que le gouvernement préparait, pour le lendemain, l’hommage aux victimes du Bataclan. J’étais « blasted » au sortir du théâtre studio de la comédie Française. La violence......
Sceneweb
mardi 16 novembre 2021
Anéantis, une plongée retenue dans la violence humaine
Par Christophe Candoni
Dans le parfait intimisme du Studio-Théâtre de la Comédie-Française, Simon Delétang monte Anéantis de Sarah Kane et signe une mise en scène justement distanciée, un brin édulcorée mais d’une fine subtilité qui fait entendre l’horreur sans limites du texte sans chercher à la montrer. Il faut imaginer le choc qu’a pu provoquer la création londonienne...
Le Petit Rhapsode
dimanche 14 novembre 2021
Sortir des souterrains obscurs
Par Richard Magaldi-Trichet
« Une vraie pièce de théâtre bouscule le repos des sens » lit-on chez Artaud. Nul doute que le texte de Sarah Kane présenté au Studio de la Comédie Française ne confirme cette assertion, car ici le spectateur doit faire abstraction de tout anthropomorphisme, et accepter un décentrement indispensable à son appréhension....