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Dernières critiques
Toutelaculture
mercredi 23 mars 2022
Christian Benedetti monte en son théâtre l'intégrale de Tchekhov - Toutelaculture
Par David Rofé-Sarfati
Christian Benedetti qui fut le premier metteur en scène en France à monter Sarah Kane d’Edward Bond, travaille et crée depuis 2010 autour de l’oeuvre […]...
L'Oeil d'Olivier
vendredi 18 mars 2022
Benedetti croque Tchekhov en toute intégralité
Par Marie-Celine Nivière
Au Studio-théâtre d'Alforville, dont il est le directeur, Christian Benedetti présente dans son intégralité l'œuvre de Tchekhov....
Les nouvelles les plus importantes de la journée
mercredi 16 mars 2022
Par Grb2
Depuis 1997, Christian Benedetti dirige le Théâtre-studio d'Alfortville. Il en a fait un laboratoire théâtral vivant, chaleureux et inventif. Depuis la...
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Sceneweb
jeudi 10 mars 2022
Christian Benedetti : « On ne peut pas faire le malin avec Tchekhov ! »
Par Stephane Capron
Christian Benedetti a été le premier metteur en scène en France à monter Sarah Kane, il entretient une longue amitié avec Edward Bond, mais depuis plus de 10 ans il vit avec Tchekhov. Année après année, il a mis en scène toutes ses grandes pièces, et pour un intégrale qu’il nomme 137 évanouissements, il y ...
Le Petit Rhapsode
jeudi 15 novembre 2018
L'amoureux à la triste figure..
Par Richard Magaldi-Trichet
Christian Benedetti nous propose la première version d’Ivanov, présentée en 1887 avec le sous-titre « comédie en quatre actes », qui sera par la suite transformé par l'auteur en « drame en quatre actes » devant l'incompréhension de la critique et du public.
Journal La Terrasse.fr
samedi 27 octobre 2018
"Ivanov", l’absurdité et le tragique de la condition humaine
Par M. P. S.
A la tête d’une troupe de treize interprètes, Christian Benedetti signe une mise en scène enjouée d’Ivanov. Pour mieux faire surgir le trouble et la violence de la pièce de Tchekhov.
WebThéâtre
mardi 13 mars 2018
"La Cerisaie", une farce douloureuse
Par Gilles Costaz
On ne résumera pas La Cerisaie, valse très connue de Tchekhov où des bourgeois rêveurs se font chasser de leur propriété par leur intendant qui, les pieds sur terre et des billets pleins les poches, rachète le domaine au nez et à la barbe de ses maîtres. Il vaut mieux citer le metteur en scène, Christian Benedetti, qui écrit : « Jouer La Cerisaie en vaudeville, il n’y a rien d’une proposition iconoclaste, mais une invitation suggérée par le texte...
Le Bruit du off tribune
mardi 30 janvier 2018
« La Cerisaie», l'obsession tchekovienne de Christian Benedetti
Par Yves Kafka
S’il est un metteur en scène, « obsessionnel » à l’envi, qui a choisi depuis 2011 de vouer sa création à un auteur lui devenant si indispensable qu’il a nourri le projet démentiel d’en incorporer avec avidité toute l’œuvre, c’est bien Christian Benedetti. Homme protéiforme,
Théâtrorama
vendredi 12 février 2016
Personnage principal : La Cerisaie
Par Dany Toubiana
Le projet du metteur en scène Christian Benedetti est précis : rien de moins que de monter saison après saison, l’intégralité des œuvres théâtrales de Tchékhov. Il commence en 2011 avec “La Mouette”, puis les années suivantes avec “Oncle Vania” et “Les trois sœurs”. Aujourd’hui, il s’attaque à “La Cerisaie”, pièce centrale de l’œuvre du dramaturge russe, en en donnant une version à la fois épurée à la fois drôle et émouvante, servie par des...
mercredi 27 janvier 2016
Un théâtre d’après la catastrophe
Par Christian Drapron
La Cerisaie, constitue le dernier volet du parcours des œuvres dramatiques majeures de Tchékhov entrepris depuis 2011 par Christian Benedetti. On peut se souvenir de l’espace blanc surmonté de l’immense velum parsemé de feuilles mortes de Strehler, du champ de blé de Pintilie ou, chez Brook, du théâtre des Bouffes du Nord devenu, jusque dans la richesse désuète de ses ors et de ses stucs, la propriété en ruines de Ranevskaïa. Chacune de ces mises en scène mémorables témoignait d’une poétique de l’abstraction soustraite à l’inflation de signes, de détails illustratifs et « d’humeurs accessoiresques » que Tchékhov reprochait à la mise en scène inaugurale de Stanislavski.