Présentation
Michel Raskine est né en 1951 à Paris. Depuis janvier 1995, il dirige le Théâtre du Point du Jour, avec André Guittier. Il a joué dans des mises en scène d'Agathe Alexis et Alain Alexis Barsacq, Anne Alvaro, Michel Berto, Antoine Bourseiller, Gilles Chavassieux, Jean-Christian Grinevald, Petrika Ionesco, Joël Jouanneau, Manfred Karge et Matthias Langhoff, André Ligeon-Ligeonnet, René Loyon, Gwenaël Morin, Lucian Pintillé, Roger Planchon, Guy Rétoré, André Serré, Jos Verbist et Herman Gilis, Bob Wilson, Jean-Marie Winling.
De 1973 à 1978, il est assistant de Roger Planchon pour Par dessus bord de Michel Vinaver, le Tartuffe de Molière, Le cochon noir et Gilles de Rais de Roger Planchon, A.A. Théâtres d'Arthur Adamov, Folies bourgeoises, Antoine et Cléopâtre et Périclès de Shakespeare. De 1982 à 1986, il travaille avec Gildas Bourdet et l'équipe des comédiens de la Salamandre à Lille. Il joue dans Les bas-fonds de Gorki, Une station-service et Les crachats de la lune de Gildas Bourdet, Casimir et Caroline d'Horvath (mise en scène d'Hans-Peter Cloos), Cacodémon Roi de Bernard Chartreux (mise en scène d'Alain Milianti).
Au cinéma, il joue dans Histoire de Paul de René Féret, Félicité de Christine Pascal, La lectrice de Michel Deville, Jeanne et le garçon formidable de Olivier Ducastel et Jacques Martineau.
Dans le domaine du théâtre lyrique, il assiste Gildas Bourdet et Alain Milianti pour la mise en scène de La finta giardiniera de Mozart (direction de Semyon Bychkov), au Festival d'Aix-en-Provence (1984). Avec Albert Herring de Benjamin Britten, présenté en mai 2000 à l'Opéra national de Lyon, il réalise sa première mise en scène d'opéra (direction musicale de Laurent Gay). En 2003, il met en scène Otello de Giuseppe Verdi (direction musicale de Ivan Fischer), toujours à l’Opéra de Lyon.
Il a mis en scène Max Gericke ou pareille au même de Manfred Karge (1984, repris en 1995, 2003 et 2004), Kiki l’Indien, comédie alpine de Joël Jouanneau (1989), Huis clos de Jean-Paul Sartre (1991, repris en 2007), L’Épidémie et Un rat qui passe d’Agota Kristof (1993), La Fille bien gardée d’Eugène Labiche (1994), La Femme à barbe de Manfred Karge (1995), Prométhée enchaîné d’Eschyle (1995), L’Amante anglaise de Marguerite Duras (1996, repris en 2006), Chambres d’amour d’Arthur Adamov (1997), Les 81 minutes de Mademoiselle A. de Lothar Trolle (1997), Théâtres d’Olivier Py (1998), La Maison d’os de Roland Dubillard (ENSATT, 1998), L’Affaire Ducreux, théâtre de coin 1 de Robert Pinget (1999), Au but, théâtre de coin 2 de Thomas Bernhard (2000), Barbe bleue, espoir des femmes de Dea Loher (2001), Elle est là et c’est beau de Nathalie Sarraute (2002), Les relations de Claire de Dea Loher (2003), Atteintes à sa vie de Martin Crimp (ENSATT, 2004), Le chien et l’atelier - Chien de Dea Loher suivi de L’atelier d’Alberto Giacometti de Jean Genet (2005), Mère & fils, comédie nocturne de Joël Jouanneau (2005), Périclès, prince de Tyr de William Shakespeare (Nuits de Fourvière, 2006), Me zo gwin ha te zo dour ou Quoi être maintenant de Marie Dilasser (Comédie de Valence, 2007), Juste la fin du monde Jean-Luc Lagarce, Jean-Jacques Rousseau, Le fou et sa femme, ce soir... Botho Strauss, Le jeu de l’amour et du hasard Marivaux, La danse de mort August Strindberg.
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