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Tour d'horizon des pièces à l'affiche : "Starmania" par Thomas Jolly, "Racine carrée du verbe être" par Wajdi Mouawad, "La vie de Galilée" par Eric Ruf, "Demain la revanche" par Ladislas Chollat, "La douleur" par Dominique Blanc, "Comme il vous plaira" par Léna Bréban…
Hier soir, Dominique Blanc était sur scène pour reprendre ce qu’elle appelle le texte de sa vie. C’est “La Douleur”, de Marguerite Duras qu'elle interprète au Théâtre de l'Athénée à Paris, jusqu'au 11 décembre. Quand la lumière s’est rallumée le public était debout pour l’applaudir longuement.
Thierry Thieû Niang met en scène "C'est tout" : les enfants et adolescents de la Troupe éphémère du TNP de Villeurbanne sont en répétitions. Leur point de départ est l'émission de radio de 1967 dans laquelle Marguerite Duras interroge des enfants.
Marguerite Duras a marqué. Duras et ses excès de toutes sortes, mais surtout, habitée par l’écriture. Plus de cinquante livres en cinquante ans, une œuvre pleine de miroirs, de tiroirs, où tout fait écho.
Dans cet entretien avec Lucien Attoun, Michel Piccoli évoquait la personnalité de Marguerite Duras, sa complicité avec Bob Wilson, ses relations d’amitié avec Peter Brook ou Patrice Chéreau. Et présentait son premier long-métrage, réalisé à l'âge de 72 ans : "Alors, voilà".
Duras est morte il y a vingt cinq ans et elle est encore là, présente à notre esprit et dans nos vies de lecteurs.
Littérature et cinéma se rencontrent dans cette Heure Bleue. Les comédiennes, Juliette Binoche et Charlotte Gainsbourg, viennent parler de la manière dont elles ont été envahies par l'écriture de Marguerite Duras, portées par son souffle et la grâce de son style.
Dans "Tous les plaisirs du jour sont dans la matinée", Marguerite Duras évoquait son enfance, l'Indochine, le nazisme, sa vision du monde, son oeuvre et son travail d'écriture, (1ère diffusion : 20/01/1962 France II Régionale).
Le 11 mars 2020 disparaissait Didier Bezace. Pour le saluer, nous vous proposons de réentendre la Nuit Rêvée qu'il nous avait offerte en 2015. Entretien 2/3. Dans ce second entretien il évoquait Marguerite Duras, Jack Ralite, Antonio Tabucchi...
Deuxième volet d'une série de cinq entretiens de Laure Adler avec le metteur en scène Claude Régy, dans lequel le metteur en scène évoque notamment sa collaboration avec Marguerite Duras dans son rapport au texte, après avoir analysé le rôle fondamental de la lumière dans son travail artistique.
Nouvelle écoute ! Bulle Ogier revient sur ses années de théâtre avec Marguerite Duras, Claude Régy ou Madeleine Renaud, dans le livre "J'ai oublié" avec Anne Diatkine (Ed. Seuil). Fanny Ardant porte sur scène les entretiens de Marguerite Duras avec une journaliste italienne :"La passion suspendue".
Marguerite Duras a créé un style minimaliste singulier, affranchi des codes du roman, qui a tant marqué la littérature qu’il ne cesse d’être copié depuis.
Bulle Ogier revient sur ses années de théâtre avec Marguerite Duras, Claude Régy ou Madeleine Renaud, dans le livre "J'ai oublié" avec Anne Diatkine (Ed. Seuil). Fanny Ardant porte sur scène les entretiens de Marguerite Duras avec une journaliste italienne : "La passion suspendue". Live : LA FELINE
En novembre 1967, dans le cadre de "La quinzaine de la lecture", Marguerite Duras est au lycée d’enseignement technique Jules Ferry de Versailles. Pour les élèves, elle lit Michaux, des extraits de "Plume" et un passage de "Moby Dick" de Melville.
Actrice et comédienne emblématique, Fanny Ardant est l’invitée exceptionnelle du premier Mag de l’été pour son rôle dans la pièce "Hiroshima mon amour", jusqu’au 7 juillet 2019 au théâtre des Bouffes Parisiens
Partons sur les pistes de l'Indochine coloniale, dans les années 1920, où un frère et une sœur rêvent d'amour et d'évasion
Un parcours intime parmi les œuvres les plus célèbres de Marguerite Duras, en compagnie du grand comédien qui a partagé son amour de la littérature et du cinéma.
Certains romans de Duras, tels que Moderato Cantabile ou Hiroshima mon amour, ont donné lieu à de célèbres adaptations. Mais Duras a elle-même a mené une carrière cinématographique dont les expérimentations formelles, parfois déroutantes, résonnent avec son écriture.
De la folie du voir chez Lol V. Stein, au « Camion », film essentiellement composé d’un plan fixe de deux heures, le regard est un élément central dans l’œuvre de Duras. Dominique Noguez et Mireille Calle-Gruber reviennent sur cette omniprésence du « voir » chez Duras et ses paradoxes.
Faite de cycles entrecoupés, d’excursions au cinéma et au théâtre, et de réécritures, l’œuvre de Duras s’appréhende difficilement de manière linéaire. Gilles Philippe éclaire pour nous le chemin dans cette œuvre labyrinthique, multiple et ambiguë.