Mon Festival d'Avignon
mardi 13 juillet 2021
Au-delà de la comédie cartoonesque
Par JRT
Quand la parodie farcesque d'un film d'horreur conduit à une réflexion profonde sur nos fonctionnements sociaux......
France
Mon Festival d'Avignon
mardi 13 juillet 2021
Au-delà de la comédie cartoonesque
Par JRT
Quand la parodie farcesque d'un film d'horreur conduit à une réflexion profonde sur nos fonctionnements sociaux......
Théâtre du blog
mardi 22 juin 2021
No way Veronica ou Nos Gars ont la pêche
Par Mireille Davidovici
L’auteur hispano-argentin (1950-2003) serait heureux s’il voyait et entendait le sort réservé ici à cette «comédie misogyne» Tiré du recueil 14 Pièces piégées, toutes d’une dinguerie débridée, où il dénonce la violence des fascismes et des intolérances humaines, No way Veronica met en scène la misogynie crasse d’une bande de machos reclus dans une station mét...
Théâtre au Vent
dimanche 08 janvier 2017
Pour faire exploser les corsets
Par Evelyne Tran
La bourgeoisie que décrit Labiche à travers le miroir grossissant et grotesque qu’il affectionne dans la plupart de ses pièces destinées à la distraire, peut paraître bien éloignée de notre perception de la société d’aujourd’hui. Les Français de souche et fiers de l’être n’auront pourtant guère de difficultés en visionnant les photographies de leurs trisaïeuls, à frissonner en songeant qu’ils sont bien ou malgré eux,
lundi 01 juin 2015
Par Marie-Laure Barbaud
Au Théâtre de Sartrouville, Jean Boillot met en scène brillamment deux pièces en un acte d'Eugène Labiche, La Dame au petit chien et Un mouton à l’entresol, en imaginant une scénographie commune, celle d'un appartement bourgeois qui se modifie, se transforme et qui devient la cage où les personnages vont libérer leur folle bestialité....
Médiapart
mercredi 21 janvier 2015
Par Dashiell Donello
La crinoline relevée sur la tête, Madame écoute le piano mécanique qui par définition joue seul. Ce début laisse à penser que les deux pièces zoologiques d’Eugène Labiche (1815-1888), La dame au petit chien et Un mouton à l’entresol, ne vont pas nous bercer dans la mélancolie....
mardi 20 janvier 2015
Par Eelyne Trân
« La Dame au petit chien »et « Le Mouton à l’entresol » ces deux petites pièces d’Eugène LABICHE qualifiées de zoologiques par son metteur en scène Jean Boillot. C’est toute l’acuité du regard moqueur de LABICHE qui s’amuse à chatouiller une galerie de personnages dans leur univers bourgeois, pour le plaisir de les voir se trémousser, s’exciter,
samedi 20 septembre 2014
Par Amaury Jacquet
Claus Peymann restitue avec clarté et une vision inspirée cette grande pièce aux enjeux universels où Carmen-Maja Antoni confère à son personnage une force et une vérité imposantes
jeudi 21 novembre 2013
C'est un tout jeune auteur, Alexandre Koutchevski,
Par Martine Silber
C'est un tout jeune auteur, Alexandre Koutchevski, que le directeur du CDN de Thionville, Jean Boillot, a décidé de mettre en scène, au Théâtre en bois du Nest, la salle de création. Pour ceux qui s'en souviennent c'est l'ancienne Cabane de L'Odéon, à présent ancrée en bord de Moselle, cette salle de bois qui peut accueillir 200 personnes est depuis quelques jours dotée d'une jolie salle d'accueil, le Barnum, également en bois avec terrasse...
mardi 19 novembre 2013
Vivants, fantômes et paysages, du ciel vers la terre
Par Dashiell Donello
La pièce Les morts qui touchent « collection de fragments » est composée de cinq parties, avec une intuition géographique à rebours, du ciel vers la terre, nous dit l’auteur Alexandre Koutchevsky. Elle met en scène : un chœur de pensées colorées, une mère mourante et sa fille sur une autoroute du souvenir, le cimetière de Châtenay-Malabry où repose Vladimir Jankélévitch et son je ne sais quoi de presque rien......
lundi 18 novembre 2013
« spectacle pour vivants, fantômes et paysages »
Par Evelyne Trân
Est-ce possible ? Dire oui à la mort, enfin accepter d’en parler sans craindre de voir autour de soi tous les visages se rembrunir. L’enfant ne se pose pas la question ou du moins, il lui est permis de ne pas la formuler, alors il étend, pour lui seul, son grand champ de rêverie.