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Dernières critiques
Action Parallèle
lundi 12 décembre 2016
l'état du communisme aujourd'hui...
Par Fabio Raffo
A l heure de la disparition recente de Fidel Castro, un des derniers symboles vivants de la tentative de mise en pratique des idees communistes en societe, Sainte-Jeanne des abbattoirs de Marie Lamachere peut-etre vu comme une réflexion sur l'état du communisme aujourd'hui...
lundi 17 novembre 2014
Une création épurée de toute métaphysique
Par David Larre
Le travail de Marie Lamachère a été remarqué il y a quelques saisons pour un Woyzeck physique et politique, portant au plus haut la tension du corps et de la langue. Sans déroger à cette exigence, elle explique s’être attachée à entrer dans Beckett par les interstices et les énigmes de son écriture, et met en voix, parallèlement à ce Godot, une série de textes non dramatiques extraits de Têtes-Mortes...
samedi 15 novembre 2014
Saluons bien bas la force envoûtante d’acteurs magnifiques
Par Véronique Hotte
Dans sa Lettre à Michel Polac, le Grand Sam écrit : « Je ne sais pas qui est Godot. Je ne sais pas, surtout pas, s’il existe. Et je ne sais pas s’ils y croient ou non, les deux qui l’attendent. Les deux autres qui passent vers la fin de chacun des deux actes, ça doit être pour rompre la monotonie. » La présentation des quatre grandioses figures beckettienne, Vladimir, Estragon, Pozzo et Lucky, se fait plutôt distanciée. Flegme, économie et réserve du créateur.
le souffleur
vendredi 14 novembre 2014
Aboutissement de plusieurs années de travail
Par Justin Winzenrieth
Le choix a donc été fait du jeu à l’outrance, jusqu’au point où la souffrance la plus pure ne peut que devenir comique, et le comique le plus grossier se faire violence. En empruntant de nombreux éléments de jeu à l’univers du théâtre de rue, la mise en scène de Marie Lamachère donne à voir, dans tout son aspect menaçant, et férocement comique, le trespassing (transgression et errance) auquel se livrent en permanence Vladimir, Estragon, et...
mercredi 12 novembre 2014
Une mise en scène efficacement percutante
Par Catherine Robert
A partir d’un travail sémantique et sémiologique intelligent et précis, Marie Lamachère et la compagnie Interstices proposent une mise en scène efficacement percutante de En attendant Godot....
mardi 25 juin 2013
« Il court à travers le monde comme un rasoir ouvert »
Par Delphine Padovani
Aux prises avec le vent, la toile du chapiteau Balthazar protège les spectateurs de la fraîcheur du soir, mais pas de la brutalité de « Woyzeck », mis en scène par Marie Lamachère. Un tête-à-tête avec les singes et les fauves, tantôt aride, tantôt saisissant....
mardi 21 mai 2013
La culpabilité qui nous ronge....
Par Frédéric Manzini
Adapter au théâtre un roman aussi intense que les Frères Karamazov impose à ceux qui s'y risquent de faire des choix drastiques. Véro Dahuron (qui joue par ailleurs Grouchenka) et Guy Delamotte (à qui l'on doit également une mise en scène à la fois intelligente et sensible) ont mis en avant le personnage du jeune Aliocha (David Jeanne Comello), le plus fascinant sans doute et celui auquel on peut plus aisément s'identifier parce
dimanche 12 mai 2013
Par Evelyne Trân
Pour tous ceux qui n’auraient pas lu « les frères Karamozov » la mise en scène et adaptation théâtrale de l’œuvre par Guy DE LAMOTTE et Véro DAHURON, les plongera d’emblée dans l’univers mental de Dostoïevski, un univers hanté par l’idée du péché, le sentiment de culpabilité et cela bien au-delà des dogmes judéo chrétiens.
samedi 11 mai 2013
Dans les tréfonds de l’âme russe
Par Jack Dion
Deux auteurs russes sont célébrés sur les planches parisienne. Le premier est Gontcharov, avec « Oblomov » mis en scène par Volodia Serre au Théâtre du Vieux-Colombier. Le second est Dostoïevski, avec « Les Frères Karamazov » dont Guy Delamotte s’est inspiré pour mettre en scèn......
samedi 20 avril 2013
Véro Dahuron et Guy Delamotte adaptent Les Frères Karamazov
Par Catherine Robert
Gageure s’il en est, l’adaptation scénique des Frères Karamazov présente un certain nombre de défis, que l’équipe du Panta-théâtre relève haut la main. La longueur du roman et la complexité de son intrigue, d’abord ; la concaténation entre les histoires d’amour, les trajectoires psychologiques, l’enquête sur le meurtre du père et les considérations philosophiques sur la question du mal,...