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Dernières critiques
Le Bruit du off tribune
lundi 01 octobre 2018
« L'Homme qui mangea le monde » : Le burn-out raconté avec brio
Par Julia Garlito
La salle est à son comble et le décor décoche des Oh ! d’exclamation parmi le public. Une toile en transparence révèle un intérieur aux multiples facettes. Le téléphone sonne décidemment beaucoup sur scène, et on accroche, captivé par le déroulement… L’histoire commence.
Libération.fr
lundi 24 septembre 2018
Laurent Sauvage, un «Père» en manques
Par Gilles Renault
Sobre et intense en agriculteur ruiné, le comédien excelle dans la pièce mise en scène par Julien Gosselin et adaptée du roman de Stéphanie Chaillou....
froggydelight.com
lundi 24 septembre 2018
Par MM
Fils de paysan, quand ce mot était encore employé de manière non péjorative, il connaissait la dureté du travail de la terre et les contraintes de l'élevage du bétail mais n'était pas comme ceux chantés par Jean Ferrat qui "rêvaient de la ville et de ses secrets, du formica et du ciné" et "rentraient dans leur HLM"....
Attractions Visuelles
mardi 18 septembre 2018
Par Karminhaka
Avec "Le père", qui donne à voir sur scène un seul comédien, Laurent Sauvage, Julien Gosselin s'offre un de ces intermèdes dont il devient coutumier, en regard de ses productions plus ambitieuses (dont "2666" avec ses onze heures). A vrai dire, il n'y a pas moins d'ambition dans ce court spectacle (annoncé 1h15 ou 1h30, il ne dure en réalité qu'une heure) que dans les grandes formes du metteur en scène....
Le Monde
lundi 17 septembre 2018
La scène hurlante de Julien Gosselin
Par Joëlle Gayot
Dans le noir absolu, la voix du comédien Laurent Sauvage s’élève. On ne voit rien. Ni l’acteur, ni la scène, ni même son voisin spectateur. Ce spectacle, mis en scène par Julien Gosselin, commence par une épure que ne renierait pas Claude Régy, maître inégalé des obscurités au théâtre. Les paroles, que rien ne parasite, nous parviennent limpides, explicites et concrètes....
Club de Mediapart
lundi 17 septembre 2018
Les voix de Stéphanie Chaillou, Laurent Sauvage et Julien Gosselin à l’unisson
Par Jean-Pierre Thibaudat
Dans « Le père » , Julien Gosselin porte à la scène « L’homme incertain », un texte de Stéphanie Chaillou. Un homme parle. Un agriculteur qui a échoué. Cet homme, c’est Laurent Sauvage. Un simple monologue ? Bien mieux que cela : un spectacle à part entière, orchestré par la bande à Gosselin....
Sceneweb
samedi 15 septembre 2018
Le Père : Julien Gosselin, la radicalité pour intimité
Par Vincent Bouquet
Le Festival d’automne à Paris et la MC93 redonnent une seconde vie au spectacle créé en 2015 par le jeune metteur en scène. Dans une veine intimiste, avec Laurent Sauvage pour clef de voûte, ce projet, moins ambitieux que les créations plus récentes de Julien Gosselin, exploite toute la poétique de L’Homme incertain de Stéphanie Chaillou....
Théâtre du blog
samedi 15 septembre 2018
Par Véronique Hotte
« Quand j’étais jeune et que je jouais au foot, j’étais heureux. Je courais derrière le ballon. Et rien d’autre ne comptait. Il y avait seulement cette évidence du ballon au milieu du terrain. Le ballon après lequel il fallait courir. Et je courais. Et j’étais heureux. » Ainsi parle l’ex-paysan, Le Père,...
lesechos.fr
vendredi 14 septembre 2018
« Le Père » : le combat à mots nus de Julien Gosselin
Par Vincent Bouquet
On connaît bien le Julien Gosselin bâtisseur de spectacles fleuves, capable d'absorber des romans monstres - « Les Particules élémentaires »......
Toutelaculture
vendredi 14 septembre 2018
Le père brumeux de Julien Gosselin
Par Amelie Blaustein Niddam
La coqueluche du théâtre français est programmé au Festival d’Automne avec une reprise qui dénote dans son univers. 1H15 pour Laurent Sauvage qui ne parvient pas à sortir du brouillard....