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Lola Cordón

Espagne

Dernières critiques

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Culturebox

mardi 19 juillet 2016

Le théâtre cannibale d’Angélica Liddell a secoué Avignon

Par Hugues Le Tanneur

La peau et sous la peau, les entrailles et les viscères – la performeuse et dramaturge espagnole a sérieusement secoué le public du festival d'Avignon au fil d’un spectacle au long cours à l’érotisme trouble et remuant. À rebours de toutes nos idées reçues, elle sonde les zones les plus troubles de l’humain adoptant le point de vue du criminel....

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Les trois coups

jeudi 14 juillet 2016

De la catharsis à l’exorcisme

Par Maud Sérusclat‑Natale

Angélica Liddell explore dans son travail l’inexplicable et l’inexprimable. Artiste hybride et troublante, presque sorcière, elle revient à Avignon avec « Que haré yo con esta espada ? » une performance qui confine à la cérémonie et qui frappe, convoquant le Beau et le Mal cinq heures durant....

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L'alchimie du verbe

mercredi 13 juillet 2016

"Votre rationalisme est un crachat sur l'infini..."

Par Raphaël Baptiste

En somme, il faut bâtir un nouveau monde, pétri dans la beauté et la poésie des éléments et du corps, détruire la loi qui la bride, et ne plus seulement la percevoir en fonction de concepts, dans une représentation artistique ou esthétique, mais bien la vivre intensément en son propre corps, quitte à être souillée, à se faire pisser dessus ou à se flageller avec des poulpes......

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Mediapart - Balagan

mardi 12 juillet 2016

Les doubles vies de Liddell et Lebigot

Par Jean-Pierre Thibaudat

Angelica Liddell revient à Avignon avec un spectacle où il est question des morts du 13 novembre, d’un cannibale japonais et d’elle éperdument. Johnny Lebigot y vient pour la première fois exposer ses œuvres faites de plumes, d’arêtes, de bois, de mousses, tout un monde réinventé. Ils ne se sont jamais rencontrés mais la notion de beauté leur est commune....

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L'alchimie du verbe

mardi 12 juillet 2016

Angelica Liddell nous dévoile encore une fois un spectacle magique

Par Raphaël Baptiste

Les tableaux se succèdent, s’enchaînent ou s’excluent, portent en eux des germes impuissants, des traces incertaines. Ils se composent de soliloques d’Angelica Liddell bordés entre une hubris dévorante comparable à celle de Médée et à un rapport assez étrange à l’auto-fiction et au contentement de soi. Le reste est occupé par des formes artistiques variées, des images oniriques ou enclavées dans le désespoir et la violence. Ces images forment des...

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Carnet d'Art

lundi 11 juillet 2016

La fascinante beauté de l’infini

Par Kristina D'Agostin

En assistant à la représentation de ''¿ Qué haré yo con esta espada ?'' un des premiers mots qui vient à l’esprit serait magistral. Avec sa dernière création, Angélica Liddell livre un véritable bijou, tant par le texte que par la mise en scène, et pousse à nouveau les limites de sa recherche théâtrale en bousculant plus que jamais l’être....

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Télérama

lundi 11 juillet 2016

La provocation jusqu'au dégoût

Par Fabienne Pascaud

Mais que raconte donc la très brune et méditerranéenne passionaria et quinquagénaire Angélica Liddell aux huit jeunes filles aux longues et splendides chevelures blondes (pour la plupart) qu’elle fait s’agiter frénétiquement complètement nues sur le plateau juste peint d’étoiles ? Comment justifie-t-elle cette image caricaturale de l’hystérie féminine qu’on croyait disparue depuis les travaux de Charcot ? Comment ose-t-elle encore, elle une femme...

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Libération.fr

lundi 11 juillet 2016

Angéca Liddell, martyre au front

Par Elisabeth Franck-Dumas

La catharsis, ce vieux cliché. Il n’y a guère qu’Angélica Liddell pour y croire encore si passionnément. Purger les malheurs du monde, elle en fait son affaire, se jetant violemment, spectacle après spectacle, contre les murs de nos digues intimes, ne laissant personne indemne au passage - et surtout pas elle. Que les pièces soient inégales est certain, qu’on ne puisse s’empêcher de l’aimer pour cela l’est tout autant. Ses créations déclenchent...

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lesechos.fr

lundi 11 juillet 2016

Les histoires de la violence d’Angélica Liddell

Par Hadrien Volle

Dans « ¿ Qué haré yo con esta espada ? », comme à son habitude, l’artiste espagnole place sa personne au centre du spectacle. Elle hurle sa pensée, son âme, sa libido, sa volonté de choquer à tout prix… Le tout avec tant de violence, que l’on est souvent tenté de partir pour la laisser seule dans son délire....

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Mediapart - Blog Saturne

lundi 11 juillet 2016

La violence est mythologique, archaïque, chez Liddell

Par Alexis Magenham

Si « Les Damnés » d'Ivo Van Hove emportent les faveurs et les bons mots de la critique professionnelle, n'hésitant pas à évoquer un public secoué et bouleversé par les tremblements de la chute, de la déchéance et du meurtre ; il en est tout autrement pour le spectacle d'Angélica Liddell...

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