Arts Mouvants
vendredi 21 octobre 2022
Par Sophie Trommelen
Leslie Bernard et Matthias Jacquin, dans une mise en scène subtile, remontent le fil des souvenirs, des souvenirs heureux qui mettent en lumière la douleur de la perte et du deuil.
France
Arts Mouvants
vendredi 21 octobre 2022
Par Sophie Trommelen
Leslie Bernard et Matthias Jacquin, dans une mise en scène subtile, remontent le fil des souvenirs, des souvenirs heureux qui mettent en lumière la douleur de la perte et du deuil.
Sceneweb
vendredi 14 octobre 2022
Deuil et humour font bon ménage dans “A l’Ouest”
Par Marie Plantin
À l’Ouest entremêle tous les fils de la vie. Que peut-on abandonner à l’enfance – où prennent racine les souvenirs, les traumas – pour façonner sa vie d’adulte mais sans sacrifier la légèreté de vivre, le bonheur de s’aimer ?...
Critiques Théâtre Paris
mardi 11 octobre 2022
Par Philippe Chavernac
Être à l’ouest est une expression qui désigne une personne en marge du monde, de la société, avoir la tête ailleurs… « Tiens celui-là, il est un peu à l’ouest… ». Cela pourrait résumer cette fratrie (3 frères, 2 sœurs) qui vivent ensemble dans la plus grande insouciance dans la maison familiale...
AuBalcon.fr
lundi 07 mars 2016
Jolies Liaisons Dangereuses malgré quelques longueurs
Par Pierre Chatel
Une jolie adaptation de ce roman épistolaire de Pierre Choderlos de Laclos paru en 1782. Assez classique, elle s’appuie sur un excellent jeu d’acteurs. Le comte de Valmont, incarné par Vincent Perez, porte véritablement la pièce. Ce libertin fascine avec sa soif de séduire, son amour des défis et sa grandiloquence. Nous avons également apprécié la marquise de Merteuil (Dominique Blanc) et ses drôles de principes « issus de longues réflexions »....
I/O Gazette
samedi 05 mars 2016
Par Lola Salem
Il ne suffit pas de se dire que Les Liaisons dangereuses est un classique de la littérature française pour supposer que le spectateur arrivera, devant la scène, empreint de toute la complexité du livre – si tant est qu’il l’ait lu. L’adaptation d’un roman épistolaire est forcément un pari en soi, et on ne peut attendre rien de moins qu’une relecture globale du superbe ouvrage de Laclos....
allegro Théâtre
jeudi 03 mars 2016
Une sorte de bréviaire d'un féminisme avant la lettre
Par Joshka Schidlow
Pierre Choderlos de Laclos (1741-1803) était officier dans l'armée du roi et vraisemblablement excellent stratège. Son roman épistolaire "Les liaisons dangereuses" est celui de la guerre que mène madame de Merteuil, une femme affranchie et dénuée de scrupules, contre une société pétrie de principes. Ce combat elle le poursuit avec la complicité de Valmont, un libertin qui multiplie les conquêtes et fut autrefois son amant. Sachant que les femmes...
Toutelaculture
jeudi 03 mars 2016
Les Liaisons dangereuses au Musée Grévin
Par Christophe Candoni
Dans un décor gris de funérarium, Christine Letailleur signe une mise en scène sans audace ni éclat des Liaisons dangereuses. Dans la poudre et le fard, la dentelle et l’étoffe, elle corsète et étouffe la subversion des amants de Laclos de sorte qu’en dépit de l’impeccable Dominique Blanc en Marquise de Merteuil, ils passent pour des poupées de cire au cœur d’un théâtre hyperclassique qui flatte l’œil plus que l’esprit....
Théâtre du blog
vendredi 19 février 2016
Une intimité très noire des âmes
Par Véronique Hotte
Les épistoliers mondains du siècle des Lumières, mondains nobles ou grands-bourgeois, imprégnés des valeurs de leur classe, voient en l’écriture-désinvolte, nuancée et élégante- qui est la leur, un divertissement qui les sauve de l'oisiveté.. L’officier Choderlos de Laclos, brut mais sagace et fidèle époux, scrute dans ses Liaisons dangereuses (1782)...
hottello
vendredi 19 février 2016
la vision critique et féministe des mœurs d’une époque
Par Véronique Hotte
Les épistoliers du siècle des Lumières, mondains nobles ou haut-bourgeois, imprégnés des valeurs de leur catégorie sociale, voient en l’écriture un divertissement qui sauve du désœuvrement. Désinvolte, l’écriture est nuancée, élégante et naturelle. Le militaire Laclos, brut mais sagace et fidèle époux, scrute dans ses Liaisons dangereuses (1782) les rapports amoureux, poussant l’art de la séduction jusqu’à une science de l’observation et de la déduction machiavélique.
20minutes.fr
vendredi 08 janvier 2016
Par Aurélie Marmu
L’histoire ? A travers 175 lettres, on découvre la relation entretenue entre la Marquise de Merteuil et le Vicomte de Valmont, deux anciens amants. Progressivement, la complicité, la séduction et l’amour laissent la place à un champ de batailles et à des rivalités. L’idée ?...