Mon frère c’est Dieu sur Terre. Un spectacle sur l’enfance, où musique et chanson se mêlent à un long monologue....

Thomas Fersen se raconte autant qu'il s'invente au fil de chansons poétiques depuis 30 ans déjà. Gus à part, marqué par Jacques Prévert autant que par le punk, il revient avec Dieu Sur Terre, livre dans lequel il force le trait de l'insaisissable nonchalant à la voix éraillée, son double plus ou moins imaginaire, poulbot parigot aussi ronchon que rigolo....

Au fil du temps, l’interprète a glissé de récitals de chansons, vers des formes de contes, d’histoires racontées malicieusement. En puisant dans son premier roman, Dieu sur Terre, et très bien entouré, il offre un spectacle très séduisant à l’Athénée, puis en tournée. Disons le vite, puisqu’il ne reste pas beaucoup de représentations à Paris,…...

Depuis trente ans, il chante les ronds de carottes ou le pavillon des fous et propose d’aller au paradis. Cette année, la soixantaine venue, Thomas Fersen a publié son premier roman. Avec lequel il fait une scène « Mon frère c’est Dieu sur Terre », où invitant en son pays fantastique, il en dit des extraits et y mêle quelques-unes de ses chansons. On y court, encore et encore !...

Au Théâtre de l’Athénée Louis-Jouvet, le chanteur présente son premier spectacle, un monologue en octosyllabes intégrant ses chansons....

À la croisée du théâtre et du concert, Thomas Fersen transpose sur scène son premier roman, Dieu sur Terre, dans lequel il passe au filtre de son imaginaire gouailleur des anecdotes de son vécu. De l’enfance au seuil de l’âge adulte, on suit le chanteur au timbre éraillé dans la peau d’un gamin un peu paumé,...

Benjamin Lazar nous propose sa version des Chants de Maldoror, œuvre parmi les plus atypiques de la littérature française, absolument inclassable, et qui tient, entre autres, du roman gothique, de la poésie lyrique et de l'épopée…

Après les contes cruels de « L’Heptameron », Benjamin Lazar renoue avec la littérature moderniste, contrepoint occasionnel à ses obsessions baroques. Dans ce premier solo véritable, où les instruments en scène sont cette fois déshumanisés, Lazar campe un Maldoror dandy en paillettes bleu nuit, et dissout la rondeur farfelue de son contage cyranesque (celui de l’« Autre monde »......