Alors qu’il est à l’affiche de “Harvey”, pièce qui lui a valu son deuxième Molière du meilleur comédien, et qu’il est au cinéma dans “Le Tigre et le Président”, Jacques Gamblin revient avec nous sur une carrière très riche, au cinéma comme au théâtre, sans jamais faire de concession.

Nos critiques ont-ils aimé "Le Tartuffe ou l’hypocrite" et "George Dandin" de Molière, "Les Sœurs Bienaimé" de Brigitte Duc, "Le voyage de Gulliver" de C.Hecq et V.Lesort, "Qui est Monsieur Schmitt ?" de S.Thierry, "Harvey" de M.Chase, "Les gros patinent bien" de O.Martin-Salvan et P.Guillois ?

"La Nuit des rois" à la Comédie Française, "Le Prénom" au théâtre Edouard VII, "Skorpios au loin" aux Bouffes Parisiens, "Misery" au théâtre Hébertot, "Tu te souviendras de moi" au Théâtre de Paris, "Après la répétition" au Théatre de la Bastille, "Je parle à un homme qui ne tient pas en place" au Rond-Point…

Jouer des équilibres et des déséquilibres : voilà le savoir-faire de Jacques Gamblin. Au fil des pièces qu'il (co)-écrit, met en scène et interprète, l'acteur n'a pas peur d'engager son corps. Sur un fil, il incarne une langue en mouvement. Rencontre avec un acteur qui ne tient pas en place.