Théâtre au Vent
lundi 16 novembre 2015
C'est le corps de pauvres bêtes
Par Evelyne Trân
C'est extrêmement réaliste, encore mieux qu'au cinéma, on se croirait dans un scène d'un polar de Simenon. Existent-ils encore ces taudis-hôtels des années cinquantaine qui servaient de niches aux voyous ou aux filles de joie ? C'est assez curieux mais la chambre qu'occupent les deux héros du Monte-plats