Nonfiction.fr
jeudi 14 mars 2019
« Je pars deux fois », un beau texte contemporain
Par Régis Bardon
Une pièce très fine dont le texte traverse les artistes pour les mettre en présence et théâtralité....
France
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jeudi 14 mars 2019
« Je pars deux fois », un beau texte contemporain
Par Régis Bardon
Une pièce très fine dont le texte traverse les artistes pour les mettre en présence et théâtralité....
Théâtre du blog
lundi 18 février 2019
Être ou ne pas être, est-ce la bonne question ?
Par Christine Friedel
La mise en scène de Sébastien Derrey est d’une loyauté et d’une délicatesse parfaites envers le texte. L’effet produit sur le spectateur est celui d’une comédie philosophique à l’humour métaphysique. (...) Je pars deux fois emmène le spectateur en zone peu connue, en terrain instable et pour un plaisir inédit....
Médiapart, Balagon
lundi 10 octobre 2016
Sébastien Derrey éclaircit Kleist
Par Jean-Pierre Thibaudat
En mettant en scène l’«Amphitryon» de Kleist, Sébastien Derrey entre au cœur de la pièce : un vacillement d’êtres. On est de l’autre côté du théâtre comme on le dit des miroirs. Les personnages n’en sont que plus nus. D’autant qu’ils sont dirigés par le metteur en scène versune économie des gestes et des voix, sans afféterie pour autant, une tension du calme dans une tempête d’événements déstabilisants....
Théâtre du blog
samedi 08 octobre 2016
Être ou ne pas être, là est la question
Par Christine Friedel
Sébastien Derrey et ses acteurs ont trouvé le style de jeu qui convient à cette implacable expérimentation du double, dédoublé, déquadruplé et ainsi de suite. Tout cela dessiné comme à l’encre de Chine, et plein, sensible : l’émotion dit la vérité, et peut tromper....
Sceneweb
jeudi 06 octobre 2016
Terne Amphitryon dans la brume et le Schwarz
Par Christophe Candoni
Jeu monocorde et chevrotant, mise en scène invariante et étirée, l’Amphitryon de Kleist que plonge Sébastien Derrey dans une atmosphère opaque et dévitalisée peine à convaincre.
hottello
mercredi 05 octobre 2016
Par Véronique Hotte
– Qui suis-je ? – Qui es-tu ? – Ne s’impose nulle certitude mais la prévalence d’un doute – un sentiment de déstabilisation, si ce n’est de dépossession brutale de soi, mais au profit peut-être d’un mouvement engagé vers l’autre et la foi amoureuse. Les acteurs sont excellents, à la fois forts et fragiles, intensément présents et absents, diffusant l’équivoque du sentiment de dédoublement et de dépossession....
AgoraVox
mardi 04 octobre 2016
Quiproquos… le vrai et l’apparence
Par Orélien Péréol
Sosie, serviteur du général Amphitryon, vient annoncer à Acmène la victoire militaire de son mari et, du coup, son retour. Joyeuse nouvelle. Il n’arrivera pas jusqu’à la maison, il se fait repousser méchamment par un autre lui-même intransigeant. Difficile à comprendre, mais le fait est là. Rusé,
La Croix
mardi 04 octobre 2016
Une écriture et une mise en scène vertigineuses
Par Didier Méreuze
Tout l’art de Kleist tient autant à la délicatesse de sa description du trouble de la confusion des sens et des sentiments qu’aux charmes d’une écriture vertigineuse (...). C’est cette écriture que Sébastien Derrey met vertigineusement en scène. Sous sa gouverne, tout n’est que grâce, délicatesse, légèreté. Le tragique est là. L’humour aussi....
vendredi 20 décembre 2013
Par René Solis
Les derniers jours d'Elvis, en plein effondrement....
mardi 17 décembre 2013
Par René Solis
Après Mannekijn, créé en 2012 à l’Echangeur, le duo Frédéric Vossier (auteur) et Sébastien Derrey (metteur en scène) récidive au même endroit avec Tahoe. Où l’on retrouve un trio - deux femmes, un homme - enfermé dans un huis-clos déroutant.