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Isaac Torres

Espagne

Dernières critiques

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Toutelaculture

jeudi 08 décembre 2022

Una imagen interior, la superbe réalité flottante d'El Conde de Torrefiel

Par Amelie Blaustein Niddam

Una imagen interior, dernière création du collectif espagnol El Conde de Torrefiel, nous emballe de ses tissus plastiques pour un futur post-historique onirique et déprimé...

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Image de Una imagen interior

Sceneweb

jeudi 21 juillet 2022

Una imagen interior, ou comment nous nous sommes déconnectés du monde

Par Eric Demey

Dans Una imagen interior (Une image intérieure), Tanya Beyele et Pablo Gisbert de la compagnie espagnole El Conde de Torrefiel proposent une réflexion sur notre rapport (détérioré) à la réalité. Une œuvre plastique et philosophique qui, tout en proposant un langage théâtral novateur, semble paradoxalement utiliser les outils qu’elle dénonce....

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Attractions Visuelles

vendredi 12 décembre 2014

Consolations

Par Karminhaka

On était resté ici sur le précédent spectacle d'Angelica Liddell, "Tout le ciel au-dessus de la terre (le syndrome de Wendy)" avec, en point d'orgue, un vertigineux solo plein de rage et de désespoir. A première vue, "You are my destiny (Lo stupro di Lucrezia)" n'a pas cette intensité ravagée, cette plongée dans les bas-fonds de l'âme. Pourtant, cette revisitation du viol de Lucrèce commence par un récit où Angelica Liddell, assise......

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rue du theatre

vendredi 12 décembre 2014

L'amour à mort

Par Jean-Pierre Bourcier

Voilà un théâtre de la vie, comme il est dit quelque part dans divers commentaires, concernant ce spectacle, « You are my Destiny », conçu par la superbe Angélica Liddell. Mais de la vie qui joue avec la mort. Avec force, beauté et rites ... parfois complexes....

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Théâtre du blog

lundi 08 décembre 2014

Rares sont les spectacles où il y a une telle unité

Par Philippe du Vignal

Le viol et la mort de Lucrèce, sans doute un des épisodes de l'histoire romaine raconté par Tite-Live qui aura fait couler beaucoup de peinture (entre autres, Albert Dürer, Sandro Boticelli, Rembrandt, Paul Véronèse, Lucas Cranach, Simon Vouet, etc), et d'encre, en inspirant un poème à William Shakespeare,...

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You Are My Destiny (Lo stupro di Lucrezia)
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lundi 08 décembre 2014

Le ravissement d’Angelica Liddell

Par Christian Drapron

''« On n’atteint des états d’extase ou de ravissement qu’en dramatisant l’existence en général. » '' - Georges Bataille On sait la force déstabilisatrice de la présence d’Angélica Liddell sur un plateau de théâtre. Assister à un de ses spectacles, c’est consentir à perdre d’abord toute amarre et tout rivage, sans que nul pacte conclu d’avance entre scène et salle ne semble en esquisser l’horizon cathartique. Il semble se décliner d’abord en cris de souffrance et de haine, de révolte et de jouissance pour se résoudre en figures et retourner finalement au chaos.

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Télérama

lundi 08 décembre 2014

Entre douleur et plaisir, les tortures scéniques d'Angélica Liddell

Par Fabienne Pascaud

« You aaaaaare my dessssstinyyyy... » C'est donc cette larmoyante et flamboyante chanson de Paul Anka — datant de l'an 1958 — qui sert de titre à la dernière création, furieuse et cruelle, de la Catalane Angélica Liddell. On l'entend à la fin de son dernier spectacle, créé au Théâtre national de Bretagne, quand l'actrice-auteur-scénographe-metteuse en scène a fini de régler leur compte à dix machos à poil sur le plateau rouge sang, soudain réduit...

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Webthea

lundi 08 décembre 2014

Chaos

Par Corinne Denailles

Espagnole torturée, écorchée vive, qui revendique sa parenté avec Antonin Artaud, Angélica Liddell n’en finit pas de régler ses comptes avec sa propre histoire, et entend crier sur scène son désespoir. Cette fois, elle apparaît faussement apaisée, lisant une lettre écrite lors d’un séjour à Venise. Mais très vite, l’Espagnole se déchaîne et mène un train d’enfer à ses comédiens pour raconter et commenter le viol de Lucrèce par Tarquin, fils du...

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liberation.fr

dimanche 07 décembre 2014

«You Are My Destiny», piqûre de mystique

Par Philippe Lançon

L’amour, c’est quoi ? Une excavation violente, souvent belle, rarement infinie, toujours impossible, ni propre sur elle ni sur les autres. C’est le centre de gravité, et de déséquilibre, du nouveau spectacle de l’Espagnole Angélica Liddell. On avait vu, cet été, les répétitions à Rennes (lire Libération du 15 septembre). L’Odéon présente le résultat. Il donne l’impression de n’être pas plus fini qu’un corps malade débordé par le mouvement de ses...

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Sceneweb

samedi 06 décembre 2014

La torture amoureuse d'Angélica Liddell

Par Stéphane Capron

Angélica Lidell ne laisse pas indifférent. C’est ce trait de personnalité que l’on préfère chez elle. En ces temps aseptisés, où l’art déchaîne les passions et la haine, la metteuse en scène reste fidèle à ses convictions. Elle aime le chaos sur scène. Nous aussi. Mais là on s’est royalement ennuyé comme si on avait déjà tout vu et comme si elle avait déjà tout dit. Dommage....

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