jeudi 15 janvier 2015
Par Raphaël Baptiste
La souffrance reste toujours présente, mais la parole au théâtre permet de l’expulser du corps pour la faire partager, pour l’immoler même, pour créer une sensation percutante chez le spectateur....
Belgique
jeudi 15 janvier 2015
Par Raphaël Baptiste
La souffrance reste toujours présente, mais la parole au théâtre permet de l’expulser du corps pour la faire partager, pour l’immoler même, pour créer une sensation percutante chez le spectateur....
lundi 25 août 2014
Murgia... mal être plus que peur de n'être
Par yannick butel
Lundi 28 juillet 2014... Retour en Normandie comme à l’habitude, avant de repartir bientôt pour ailleurs... Ai en mémoire le dernier spectacle vu, au Gymnase Aubanel, dans le Festival, le 24 vers 20H00. Le “Notre peur de n’être”... de Fabrice Murgia... “Ai en mémoire” ne veut pas dire qu’il s’agit d’un travail impérissable, mais plutôt que je ne me décide pas à écrire là-dessus... Pourtant, c’est la règle critique... il faudra bien écrire. Au pré...
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mercredi 23 juillet 2014
Dans les vies de grande solitude
Par Didier Méreuze
Signé d’un jeune metteur en scène, plasticien et vidéaste belge, Fabrice Murgia, ce spectacle déroute et envoûte....
mercredi 23 juillet 2014
Par Nurten Aka
Sur fond d'interventions des intermittents du spectacle (et des artistes belges), Avignon avance tant bien que mal, avec notamment le retour dans le IN d'un artiste "belge-francophone", après 10 ans d'absence. Fabrice Murgia dont la nouvelle création -Notre peur de n'être- est un succès, applaudi à gogo lors de la première....
mercredi 23 juillet 2014
Par Fabrice Chêne
La nouvelle création de Fabrice Murgia était très attendue en cette dernière semaine du Festival d’Avignon. À l’arrivée : une proposition aussi belle esthétiquement que limitée dans son propos....
mercredi 23 juillet 2014
Par René Solis
Auteur, en 2008, du Chagrin des ogres (un titre qui emprunte à la fois à Hugo Claus - le Chagrin des Belges - et à Daniel Pennac - Au bonheur des ogres), Fabrice Murgia, né en 1983, est passé par le conservatoire de Liège, en Belgique. Il a l’ambition d’un théâtre qui se confronte au virtuel, aux machines et à la déshumanisation contemporaine. Il dit s’intéresser à «la façon dont on est seul aujourd’hui»....
lundi 14 juillet 2014
Texte narratif et lapidaire, brutal et fécond
Par yannick butel
Bientôt minuit place de l’Horloge et alors que les instincts se révèlent à la 113ème minute – et que Götz délivre l’Allemagne en envoyant ad patres l’Argentine – va commencer, juste à côté, à l’Hotel des Monnaies, le fantasmagorique travail du metteur en scène brésilien et paolien Antonio Araujo et du grupo Teatro da Vertigem.... Dire ce que l’on pense pas dans des langues qu’on ne parle pas. Texte narratif et lapidaire, brutal et fécond en obser...
dimanche 13 juillet 2014
Par yannick butel
Bientôt minuit place de l’Horloge et alors que les instincts se révèlent à la 113ème minute – et que Götz délivre l’Allemagne en envoyant ad patres l’Argentine – va commencer, juste à côté, à l’Hotel des Monnaies, le fantasmagorique travail du metteur en scène brésilien et paolien Antonio Araujo et du grupo Teatro da Vertigem.... Dire ce que l’on pense pas dans des langues qu’on ne parle pas. Texte narratif et lapidaire, brutal et fécond en obser...
samedi 12 juillet 2014
les brésiliens Antônio Araujo et Bernardo Carvalho tirent au but et marquent
Par Jean-Pierre Thibaudat
C’est une histoire de pères, de fils et de filles dans un monde en crise. C’est un regard aigu jeté par des Brésiliens sur notre vieille Europe désabusée et paumée, jetée comme un mouchoir sale dans le futur proche ou cauchemardesque du néofascisme. Cela s’appelle « Dire ce qu’on ne pense pas dans des langues qu’on ne parle pas ». Une pièce de Bernardo Carvalho mise en scène par Antônio Araujo, non dans un théâtre mais dans l’hôtel des Monnaies d...
mardi 08 juillet 2014
crise brésilienne à l’Hôtel des Monnaies
Par Philippe Chevilley
« Dire ce qu’on ne pense pas dans des langues qu’on ne parle pas »… Dire qu’on Dire qu’on n’a pas aimé ce spectacle avec les mots qu’il faut : face à cet ovni brésilien au nom à rallonge, si plein d’énergie, de trouvailles visuelles et de bonnes intentions, on est triste de devoir...