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Si parmi les dizaines de pièces qui passent à Paris en ce moment, celle que j’avais le plus envie de voir était "Un Chapeau de paille d’Italie", écrite en 1850, par Eugène Labiche, c’est parce qu’elle est mise en scène par Alain Françon.
Ce matin, nous recevons Vincent Dedienne pour "Un chapeau de paille d'Italie", au Théâtre de la Porte Saint Martin.
Les critiques ont vu : "La Note" aux Bouffes Parisiens, "Vidéo club" au Théâtre Antoine, "Un chapeau de paille d'Italie" au Théâtre de la Porte Saint-Martin, "James Brown mettait des bigoudis" au Théâtre de La Colline, "Bungalow 21" au Théâtre de la Madeleine, "Edelweiss (France Fascisme)"...
Ce qui anime Vincent Dedienne ? C’est le rythme... Et c’est ce qui est au cœur de l’horlogerie mécanique d’un vaudeville, auquel il s’attaque en jouant dans "Un chapeau de paille d’Italie" d’Eugène Labiche. Mais le rire, comment il se crée ? Comment il se contrôle ?
Aucun répertoire n’échappe à la lecture toujours fine et précise d’Alain Françon. Après avoir monté Beckett, Marivaux et Thomas Bernhard le metteur en scène s’attaque à Eugène Labiche, avec Vincent Dedienne en tête d’affiche. Rencontre avec un maître du théâtre.
L'émission "Lectures a une voix" proposait en 1961 "Les suites d'un premier lit", d’Eugène Labiche, c'est Robert Hirsch qui interprète en virtuose les six rôles, trois hommes et trois femmes, de cette comédie (1ère diffusion : 22/12/1961 Chaîne Nationale).